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CAHIER 7.1 - L'accélération du temps-information

et l'enseignement par le verbe


Audio et PDF disponibles en bas de page

 

Dès notre départ du week-end de partage à Mas-Carbardès (voir vidéos), Sand a été rapidement sujette à de violentes céphalées, puis les heures suivantes, tous deux, malgré l'alimentation cétogène et la supplémentation en iode, succombions bizarrement à une bronchite accompagnée de fièvre. Nous savions que notre corps réagissait à quelque chose de profondément enfoui dans notre inconscient. Notre âme, au travers de la "mal-a-die" (l'âme a dit), tentait-elle de nous avertir ?

Nous devions le découvrir, d'autant plus que nous avions évoqué la théorie de la transformation génétique par le biais de la maladie induite par l'herpès virus. (Voir le cahier 6.1 : l'enseignement de ECK et la video n°2 à Mas-Cabardès)

 

 

Cette fois-ci, à l'aide du "grand dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel", nous avions décodé notre mal-être de cette manière :

 

La bronchite (ite = colère) se caractérise par l'inflammation de la muqueuse des bronches, conduits menant l'air de la trachée jusqu'aux poumons. […] Les bronches représentent la Vie, mon espace vital, mes délimitations, le territoire plus particulièrement lié à mon couple (Sand & moi), à ma famille (famille d'âmes), et mon milieu de travail (la vidéo-partage que nous étions en train de réaliser pour être diffusée).

[…] La peur peut se manifester lorsqu'il y a altercations ou des disputes qui sont annonciatrices de conflits. Il y a un danger imminent (intrusion inconsciente de la 4D SDS dans notre fonctionnement et notre environnement. Autrement dit, il y a de la prédation dans l'air !)

[…] Je subis certains événements sans broncher (nous ressentions que quelque chose se tramait mais engourdis, comme envoûtés, nous restions incapables de réajuster la situation). […] Je peux avoir l'impression que je manque d'air […] que les autres m'étouffent (emprise de la prédation sur la psyché d'autrui pour saboter le souffle de vie – la circulation de l'information). […] Souvent c'est mon couple qui est danger (notre travail en commun).

Cette inflammation provoquant l'hypersécrétion bronchique – épaississant ainsi les glaires ou la "colle à air", me montre que je vis de la colère, une frustration […] par rapport à des émotions refoulées, des paroles que j'ai besoin d'exprimer et de laisser sortir. Je tente de communiquer avec mes proches. Il existe un trouble intérieur, une perturbation qui m'empêche de manifester mon être véritable, son souffle (partager les informations)... Il s'agit souvent de l'ambiance familiale (famille d'âmes) qui est chargée de tension, de silences, de mensonges (les non-dits).

 

 

Une nouvelle leçon en perspective ? En effet, Sand et moi avions de la colère et nous avions perçu pourquoi.

Nous avions de la colère parce que plusieurs parties de notre partage, comme par "magie", avaient disparu de l'enregistrement vidéo. (Peut-être avait-il été effacé par une sorte de sortilège transdimensionnel ?)

 

Nous avions de la colère parce que nous sommes restés sur la sensation de n'avoir pas eu le temps, ou de n'avoir pas su saisir l'occasion durant ces deux jours, d'aller jusqu'au bout des révélations qui nous avaient été délivrées par les dimensions supérieures.

 

Nous avions de la colère parce que nous n'arrivions pas à être entendus, pas même par nos amis les plus proches (notre famille d'âmes).

 

Nous avions de la colère parce que plusieurs sujets importants n'avaient pas pu être développés. Même certaines informations que nous avions déjà révélées avaient été mal interprétées ou sont restées incomprises, parce qu'elles sont restées logées dans la sphère du mental et n'avaient pas été intégrées.

 

Nous étions en colère car nous-mêmes avions beaucoup de difficulté à nous exprimer un tant soit peu "calmement, posément", par crainte d'être interrompus lorsque nous prenions la parole.

 

À vrai dire, pendant les deux jours à Mas-Cabardès, nous avons été salués par les SDS de 4ᵉ densité, qui probablement n'appréciaient guère que certaines informations allaient être révélées. Ne seraient-elles pas effrayées de la soudaineté avec laquelle celles-ci circulent ?

 

La prédation transdimensionnelle est encore une fois parvenue à interférer dans l'inconscient collectif du groupe pour que les messages soient tronqués, voire non-recevables, puisqu'à plusieurs reprises la bande son de l'enregistreur ou celle de la caméra est restée inaudible. Mais peut-être aussi était-ce mieux ainsi ?

 

Cette intrusion transdimensionnelle va encore beaucoup plus loin que ce qu'on pourrait penser et nous l'avions amèrement découvert au fur et à mesure du montage des vidéos. Soit !

 

Après cette rencontre, nous demandions à la guidance d'avoir une réponse à ce qui a déclenché nos maux.

Sand fit alors un rêve qu'elle raconte ici et que nous interprétons en même temps pour plus de clarté :

 

J'étais dans une sorte de grand manoir et avais connaissance d'expériences qui s'y déroulaient sur des humains. Ayant pénétré furtivement dans le bâtiment, j'y découvris des zombies captifs dans un aquarium-prison (symbolique du monde de 3D dans lequel l'humain est immergé).

 

Un scientifique, chef de projets, supervisait cette expérience. Il était campé derrière la glace de son aquarium-cabine (sa bulle – son monde, en référence aux contrôleurs de la matrice qui agissent derrière le voile/rideau, c'est-à-dire dans leur fréquence de 4D).

A un moment donné, je savais que je devais me cacher. Je m'immergeais alors moi aussi dans la prison-piscine dans laquelle étaient déjà enfermés d'autres morts-vivants. Pour pouvoir passer inaperçue, je faisais la morte et me cachais le visage derrière une sorte de couvercle de casserole en inox réfléchissant, afin qu'on me prenne également pour un zombie.

Le scientifique ordonna de sortir un corps de la piscine, et en l'occurrence c'était à mon tour d'en être extirpée. Deux très grandes femmes, des sortes d'infirmières, me hissèrent de la piscine en m'attrapant par les bras. Je me laissais alors traîner le long d'un couloir, dérobé à la vue du scientifique. Tout en redoutant qu'elles s'aperçoivent de mon subterfuge, j'entendais dans mon esprit : laisse-toi peser de tout ton poids, tu sembleras morte. Je sentis alors le froid du carrelage qui engourdissait mes cuisses et mon bas-ventre.

 

J'entendis l'une des "infirmières" (infirme-hier = notre passé = nos lignées reptiliennes qui n'ont pas su évoluer dans des densités supérieures) dire à l'autre : il faudra lui coudre l'anus avant de la suspendre par les pieds.

 

L'anus ne symboliserait-il pas la porte par où "les informations", une fois digérées, assimilées et triées sont censées être expulsées ?

 

Et être pendu par les pieds nous renvoyait à la carte du pendu dans le tarot – le monde à l'envers.

 

 

En alchimie, on ne cherche pas l’endroit mais l’envers du monde. Le monde, dans le tarot, c’est 21. Ce qui est « en vert » c’est la connaissance des choses cachées. Le lion vert (ou l’ion vert) de l’alchimie ne désigne pas que l’acide sulfurique, mais aussi le dissolvant universel, le VITRIOL : Visita Interiora Terrae Rectificando Invienes Occultum Lapidem, visite l’intérieur de la terre et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée, visite l’intérieur de toi-même et tu trouveras la lumière. 21 à l’envers donne 12, la position des jambes de la danseuse du monde donne le pendu à l’envers. Le pendu c’est le monde à l’envers. Ce qui est « en vers » c’est aussi un corps en décomposition, dévoré et digéré par les vers. Ce qui est « en vers » c’est aussi la poésie. Si quelque chose se cache dans le tarot, c’est le pendu qui dira où. Parce qu’on dit que le monde, le 21, est le symbole de la totalité, mais la totalité sans son envers n’est pas complète. Alors la somme théologique du pendu, de 12, c’est : 1+2+3+4+5+6+7+8+9+10+11+12 = 78, et il y a 78 arcanes dans le tarot, le pendu est donc la totalité cachée du tarot. Et la réduction théologique de 12 est 1+2=3, qui rappelle la trinité du corps/âme/esprit, sel/mercure/soufre, minéral/végétal/animal, père/fils/saint-esprit, mère/fille/sainte-âme, mais aussi on dit que le 3 est la création parce que 1 papa + 1 maman = 1 enfant, pour créer il faut 3. Et 78 divisé par 3 est égal à 26, chiffre de Dieu dans la Kabbale, donc on peut dire que le tarot est l’expression des 3 monothéismes : religion juive, islamique, et chrétienne. Le lion vert est l’ion vert c’est-à-dire le rayon vert alchimique, c’est un mystère...

https://www.reseauleo.com/psychogénéalogie-imbrication-et-intrication-pierre-kerroch

 

 

Alors qu'elles joignaient le geste à la parole, je sentis quelque chose me piquer le postérieur. Dès ce moment, je décidai d'intervenir. Les attrapant par le cou et par la seule force de l'esprit, telles des poupées je les projetai au sol, me libérant ainsi de ma fâcheuse posture.

 

Cherchant à m'enfuir, je constatai que la pièce où je me trouvais désormais était pourvue d'une fenêtre munie de barreaux. Par conséquent, il m'était impossible de m'évader. Subitement, mon esprit me rappela : puisque tu es rentrée ici de ton plein gré, tu devrais également pouvoir ressortir de ton plein gré (si tu as choisi de t'incarner dans ce monde, tu peux également choisir d'en sortir).

 

En relevant à nouveau les yeux vers cette même fenêtre, je remarquais alors que les barreaux avaient disparu. Nue comme un vers, je déshabillais une des infirmières pour remarquer que ses vêtements étaient immensément grands par rapport à ma taille. Évidemment puisqu'elles mesuraient plus de 2 mètres !

 

Après m'être débrouillée pour me couvrir, je pus donc m'y faufiler pour m'évader et me retrouver dans un autre espace-temps, au Moyen Âge, face à Jenaël, qui lui aussi avait vécu une expérience similaire à la mienne dans ce manoir.

Il me dit alors : "regardes le pouvoir qui m'a été rendu suite à l'expérience dans le laboratoire".

 

Pour me montrer, il sauta dans une flaque d'eau et disparut. À la vue de ce tour de passe-passe incroyable, je pensais qu'il était certainement retourné sous terre (car je savais que le manoir avait un accès intra terrestre).

 

Lorsqu'il réapparut, je lui expliquais à mon tour que contrairement à lui, je n'avais nul besoin d'eau pour disparaître, car j'étais capable, par la force de l'esprit, d'en faire autant. Mais je devais toutefois faire attention, car la moindre goutte d'eau pouvait me rendre à nouveau visible.

 

(L'eau étant symbolique de mon émotionnel, elle risquait de me révéler dans ce monde de 3ᵉ densité. Trop d'eau, c'est l'émotionnel débordant, nourrissant les opérateurs SDS, et qui par conséquent m'enferme dans la matrice. A l'inverse, Jenaël (le masculin) retrouve ses capacités perdues par l'émotionnel. L'équilibre de nos deux énergies restaure nos capacités naturelles).

 

Comme pour entériner ce que je venais de prétendre, je disparus à la vue de Jenaël pour me retrouver dans une forêt. Il commençait à y pleuvoir. La pluie me rougissait la peau. C'est alors que je réalisai que je pleurais. Mes larmes risquaient à nouveau de me rendre visible et vulnérable.

 

Après cette scène, avec l'intention de rejoindre Jenaël, bizarrement je réapparus dans un appartement où j'avais vécu avec l'un de mes ex-compagnons. Ce dernier était présent mais je savais qu'en fait c'était Jenaël. Je compris très vite que je superposais l'apparence de mon ex-compagnon à celle de Jenaël, et pour cause !
A plusieurs reprises pendant le week-end à Mas-Cabardès, j'avais remarqué que Jenaël avait un comportement similaire à celui de mon ex-compagnon. Il avait l'air plus surexcité que d'habitude, impatient, pressé de parler et de ce fait, il se faisait très souvent couper la parole. J'avais compris qu'une part de lui avait simplement peur de ne pas avoir le "temps nécessaire" pour communiquer les informations que ces "autres Soi" lui avaient transmis. Et effectivement, nous savons aujourd'hui, après avoir procédé au montage des vidéos, que certaines informations qu'il pensait pouvoir apporter ou approfondir, n'ont même jamais été abordées.

 

Âprement réprimée, sa préoccupation à communiquer les transmissions Léonines a donc causé sa bronchite, l'inflammation du souffle, du "pneuma".

(Wikipédia :

1- Souffle ou esprit aérien auquel, dans l'antiquité, certains médecins attribuaient la cause de la vie, et par la suite, des maladies. Voir aussi, le terme chinois, qi ou indien, prana.

2 - Nom que les stoïciens donnaient à un principe de nature spirituelle, qu'ils considéraient comme le cinquième élément.)

 

 

Ce cinquième élément, le prana, n'est donc rien d'autre que cette force qui véhicule l'information. Elle est cette énergie noire, cette force faible qui, lorsqu'elle est entravée ou réprimée, peut causer l'inflammation, le "mal à dire".

 

À la fin de mon songe, Jenaël m'invita à visionner la vidéo qu'il avait pu réaliser dans ce manoir. Elle résumait les scènes de mon rêve, mais curieusement le générique était signé Sand et Geneael. Son nom orthographié de la sorte apparaissant à trois reprises, me laissait une impression bizarre. Je me questionnais alors, pourquoi Jenaël n'avait-il pas correctement écrit son nom ? Cette étrangeté m'extirpa de mon sommeil.

 

J'en compris le sens seulement au petit matin en lui partageant mon voyage. Jenaël incarnait les 'Gènes à El' (c'est-à-dire de ses autres Soi – dont moi –, donc de la Conscience supérieure). Il possédait et par sa génétique, transmettait l'information, la Connaissance, le "souffle de vie".
Mais Jenaël, en tant qu'être humain, n'était-il pas en train de se laisser rattraper par les prédateurs des uns et des autres parce que moi-même porteuse de la génétique de l'Amasutum, la "Meri", génitrice du Nungal-Veilleur, je n'étais pas correctement centrée en mon corps-âme-esprit ?

 

Méri en ancienne Egypte/Atlantide, était aussi nommée Reine des Cieux. Ce principe féminin originel et créateur se confondant en réalité avec le principe féminin androgyne. Elle est un archétype au cœur de la force symbolique des fameuses vierges noires qui dépassent de loin l'époque judéo-chrétienne et s'apparentent notamment à la figure d'Isis.

 

Le rôle de Jenaël, de par sa génétique de "Nungal-Veilleur", est de me conduire à me rappeler de mon Êtreté (être celle que je suis). Mon rêve me le remémorait : "Gènes-à-elle", et c'est lui qui montrait "mon film". Les Nungal ont toujours été les veilleurs, les dépositaires des codes génétiques des Amasutum. Et en raison de mes gènes reptiliens plus actifs, j'aurais dû rester plus vigilante aux intrusions des opérateurs SDS et à notre comportement de groupe.

 

Cela faisait déjà un certain temps que j'avais remarqué le canal de prédation qui s'était ouvert dans notre groupe d'âmes du réseau LEO, mais je ne voulais pas y croire. Je m'accrochais à mes illusions, me sentais encore "coupable" de Voir et m'accrochais à l'espoir que je me trompais.

 

Par conséquent, n'ayant pu épauler Jenaël pour qu'il puisse délivrer l'intégralité de ses informations, je donnais de la force à la prédation. Ses tentacules, agrippées à chacun, se jouaient de nous pour que nous restions dans notre enfermement (enfer-me-ment).

 

Par notre état, nos âmes nous enjoignaient à déceler nos failles. Nous devions cesser de nous laisser prendre notre énergie, rester alignés et sortir des non-dits.

 

 

*  *
*

 

 

Nous savons que l'un des principes fondamentaux du "Service d'autrui - SDA" consiste d'abord à bien écouter pour apprendre, expérimenter, éprouver. Ensuite seulement, nous avons le devoir d'enseigner ! Autrement dit, nous devons retransmettre ce que nous avons appris et intégré de notre Ange. Nous devons "transmettre" de nos propres expériences et non pas agir comme "des passeurs", des colporteurs du savoir d'autrui.

 

Pour une conscience en cheminement SDA, "apprendre" consiste aussi à procéder à un tri, à discerner la source d'une information et la pertinence de son contenu. Et ce discernement doit provenir non pas seulement de notre intellect, d'une appréciation visuelle ou simplement de nos croyances, mais doit résulter des indications de notre Être intérieur, du Soi supérieur.

 

L'intellect doit donc rester au service de l'intuition,

il doit appuyer l'expérience et non la supplanter ou l'évincer.

 

De même, le réseau LEO ne doit pas seulement devenir un site de partage de savoir et d'informations intellectuelles. Il doit avant tout s'élever en tant que plateforme de partages de vécus, d'échanges d'expériences, et rester un site de dialogues entre lecteurs. Sa philosophie devra demeurer partisane d'une conscience en orientation au Service d'Autrui, sinon l'information échangée, circonscrite dans la sphère du mental, alimenterait immuablement les mondes au "Service de Soi - SDS".

 

Nous avons plusieurs fois été ainsi salués par les prédateurs de 4ᵉ densité, parce que submergés par des élans d'intellectualisation de la Connaissance, nous avons réduit notre vigilance quant à notre comportement.

Alors pour la majorité des gens qui ne sauraient pas encore percevoir l'influence du prédateur dans notre conscience humaine (et pour apprendre comment ne pas se laisser piéger par l'intellect-mental), il faut d'abord savoir que la présence d'un esprit prédateur peut, selon les individus, se manifester dans le corps physique par un avertissement sensoriel. Ce signal peut être un doute, un ressenti, un symptôme incongru, un malaise impalpable, une gêne intérieure, un mal de ventre, de l'agacement, de l'irritabilité, une maladie telle une bronchite…, une alerte, un quelconque déclencheur envoyé par l'âme.

 

Lorsque nous réceptionnons une information, il ne s'agit donc pas de l'interpréter à notre guise ou telle qu'elle nous sied, mais de l'accepter en tant que telle, sans émettre de "diagnostic mental". Car avant toute appréciation des informations que nous recevons, le mental doit être aligné avec notre corps-âme-esprit, ce qui généralement n'est pas le cas de la plupart des individus.

 

Ensuite, cette information doit être digérée, assimilée, intégrée pour qu'elle puisse devenir une "in-formation", une formation énergétique et génétique qui, si on lui en laisse le "loisir", peut modifier notre génome.

 

Apprendre n'est donc pas uniquement un processus intellectuel, loin de là. Apprendre c'est "prendre" pour faire soi. C'est acquérir la Connaissance "cellulaire" ou épigénétique (donc parfois karmique) pour renaître avec son "don". C'est accepter de recevoir de nouveaux brins d'ADN pour, entre autres, arriver à élever notre point de vue.

 

Et ce n'est qu'en ayant appris de "manière profonde et intime" que l'entité corps-âme-esprit en orientation au service d'autrui que nous nous efforçons au mieux de servir, peut et se doit d'enseigner. Car cet enseignement doit se faire dans les règles du Service d'Autrui et non pas à travers leurs distorsions, c'est-à-dire celles du Service de Soi (comme le font quasiment la plupart des prétendus enseignants spirituels).

 

En-saigner signifie "faire pénétrer dans le sang, autrement dit, introduire une "in-formation-énergique" dans le génome d'autrui, d'un groupe de partage, d'une population...

 

Elle ne peut cependant être "profitablement introduite", non pas après l'avoir simplement comprise, mais après l'avoir profondément intégrée soi-même.

 

Autrement dit, enseigner consiste à reproduire ce que nous-mêmes avons assimilé. Enseigner consiste non pas seulement à expliquer, mais à laisser vibrer une fréquence de résonance, pour la laisser s'imprégner dans le génome d'autrui. Ceci ne peut se faire qu'en laissant circuler l'enseignement qui nous est transmis par notre Soi supérieur et par notre famille d'âmes de conscience et de densité supérieure.

 

Le concept de transmission par le "pneuma", le souffle, est repris par les traditions religieuses lorsqu'il est écrit :

 

Au commencement était le verbe [ou la parole selon les versions] et le Verbe était avec Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement avec Dieu. Tout est né par lui, et absolument rien de ce qui existe n'a pris naissance sans lui. (...)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Prologue_de_l%27%C3%A9vangile_selon_Jean

http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/sedir/Lenfance1/verbe.html

 

Le verbe n'est donc pas autre chose qu'une transmission d'informations, de fréquences d'énergies prenant forme par le pneuma, le souffle : la parole, et qui entraîne un processus épigénétique.

Les traditions celtes ou druidiques avaient décrit le principe de l'inflammation du "pneuma" par un symbole archétypal : le souffle brûlant du dragon.

 

Ce symbole ésotérique sous-entend que pour pouvoir être diffusé, l'enseignement "ardent" et transformateur du dragon (en référence au feu alchimique) doit être catalysé. Et son catalyseur demeure en la capacité de l'auditoire à lui aussi dompter son dragon. C'est-à-dire rester à l'écoute, poser des questions, faire abstraction de l'ego pour éviter d'interpréter l'enseignement, pour ensuite arriver à l'assimiler et à l'intégrer.

 

D'ailleurs Gurdjieff, rencontrant ces mêmes problématiques lorsqu'il enseignait, avait trouvé une solution. Il avait créé une école (une "echo-el") pour pouvoir "retransmettre à son aise, les enseignements des mondes supérieurs de conscience".

Évidemment, il avait été censuré, controversé par le corpus SDS qui inlassablement détournait ou gangrenait son enseignement. Mais Ouspensky l'enseigné, son élève, avait très bien saisi la complexité et la difficulté de transmettre l'enseignement provenant des sphères de conscience supérieure.

 

Dans "L'homme et son évolution possible", il reprend les deux éléments qui composent l'homme, à savoir la personnalité et l'essence. Les deux lui étant nécessaires, il doit aussi savoir les garder harmonieux par l'observation de Soi en se souvenant des quatre états de conscience de l'individu, que sont le sommeil, la veille, la conscience de soi et la conscience objective.

 

Il prétendait que l'homme dépend de quatre manifestations mécaniques qui lui sont nuisibles, car elles le plongent dans le sommeil. Elles sont :

- le mensonge, comme étant le fait de parler de ce que l'on ne connaît pas comme si on le savait ou pouvait savoir,

- l'imagination, qui détourne toujours des décisions les plus conscientes dans le sens se mentir à soi,

- les émotions "négatives" (l'émotionnel) en tant que signes de faiblesse,

- et le bavardage, qui empêche d'observer ce qui amène au bavardage.

 

Il disait :

"Pour commencer son développement, l'homme "naissant" doit se sortir de son sommeil influencé par l'identification et la considération [l'identification à autrui, la compétition, la jalousie] et acquérir un centre de gravité, une conscience du présent permanent."

 

Il notait que le langage était soit un moyen d'établir des ponts entre des idées différentes ou inversement des clivages entre des idées semblables. (Phénomène qui a largement transpiré pendant le montage de la vidéo, et a souvent fait perdre le fil d'une idée.)

 

Ces quatre manifestations mécaniques de l'homme sont donc sujettes à influence, si nous ne faisons pas attention à ce que l'on y cache derrière..., parce qu'elles créent l'agitation. Et cette agitation est engendrée par l'émotionnel lorsque l'esprit n'est pas posé ou aligné dans le corps-mental-esprit, pour recevoir l'information.

 

En effet, le principe de la communication, surtout si elle est d'origine transdimensionnelle, est très difficile à mettre en exergue dans notre dimension humaine, ceci simplement parce que sans cesse, les gens interprètent le message, parce qu'ils croient avoir tout compris.... Ils restent donc le plus souvent dans leur suffisance et se contentent d'interpréter à leur manière, comme cela les arrange, les informations qui leur sont délivrées et persistent dans un rôle de passeur d'informations.

 

Lorsque nous visionnons d'autres vidéos sur Internet, la quasi-totalité des interviews laissent transparaître cette non-écoute, ce non-respect de la part du présentateur envers celui qui essaye de transmettre un message. Voici un exemple édifiant sur BTLV où l'interviewé semble être lancé dans une course contre la montre pour arriver à faire passer son message.

https://www.btlv.fr/s04e18-alexandre-rouge-l-heritage-des-cathares-700-ans-plus-tard-2.html

 

 

Jules Renard avait incontestablement raison en prétendant que :

 

"Écrire, c'est une façon de parler sans être interrompu."

 

Écrire permet de nous centrer en notre corps-âme-esprit. L'auteur d'un texte étant centré et aligné corps-âme-esprit pendant la rédaction, son écrit véhicule une fréquence de résonance beaucoup plus profonde qui, lorsqu'il est lu avec attention, agit cellulairement plus profitablement que lorsqu'il est entendu d'une oreille distraite (par exemple en faisant le ménage).

 

Ceci dit, lorsque Sand s'apprête à reprendre et transcrire les textes, je (Jenaël) lui dis très souvent : pour en comprendre parfaitement son sens, lis le texte d'abord pour intégrer sa structure, même s'il est truffé de fautes. Ensuite seulement, tu pourras corriger la grammaire et l'orthographe.

 

En effet, lorsque je retranscris "des informations", je les reçois parfois "inspirée" de provenance transdimensionnelle, des sortes de transmissions superluminiques de pensée, des transferts de concepts provenant de mon "Ange". En tout cas, je l'interprète comme tel.

 

Cet autre "moi" serait par exemple ECK ou d'autres fractales de mon âme, communiquant depuis des densités plus élevées.

 

Transcrivant des phrasés de pensée, je ne peux donc me permettre de me laisser distraire par les règles d'écriture de 3ᵉ densité. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'écris avec un casque à musique sur les oreilles, que je me passe en boucle des groupes de musique en langue étrangère, car ne saisissant pas le sens des paroles, je ne me laisse pas distraire.

 

https://www.youtube.com/watch?v=rzsIToKA0o8&list=RDGCfFpz-omyU&index=13

https://www.youtube.com/watch?v=-gWtaMAQVSU

 

De cette manière, je m'enferme dans ma bulle et j'écris…, j'écris..., j'écris et décris des concepts, les enseignements qui surgissent dans mes pensées.

 

 

Finalement, le réseau LEO a été créé pour laisser circuler et rendre disponible des informations inédites, en déceler ou approfondir leurs concepts, puis en découvrir des corrélations scientifiques. Et c'est pour cette raison que nous encourageons les recherches.

 

Écrire et transmettre est une tâche éminemment ardue qui demande une remise en question quotidienne, une vigilance perpétuelle, afin de déceler dans notre propre comportement le sceau des prédateurs transdimensionnels.

 

Nous le rappelons encore, leurs salutations se traduisent par :

  • le mensonge inconscient, le fait de parler de ce que l'on ne connaît pas,
  • l'imagination, qui détourne toujours la conscience dans le sens de se mentir à soi,
  • l'émotionnel, en tant que signe de faiblesse,
  • et le bavardage, qui empêche l'écoute.

 

Déceler le souffle du dragon avant qu'il ne nous consume est notre vocation.

Cette rigueur du chaman, nous nous y employons quotidiennement, de tout cœur et en toute transparence !

 

 

Sand & Jenaël 

 

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