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CAHIER 7.3

 

Sexualité et karma

ou l'illusion de l'amour Luciférien de la 4ᵉ densité ?

 


Audio et PDF disponibles en bas de page

 

Aborder ce sujet ô combien délicat risque encore de faire grincer des dents ! Car avant que nous ne commencions nos recherches et même si nous estimions déjà connaître sommairement la question, nous avons redécouvert de nouvelles strates de mensonges à propos de la sexualité dans notre civilisation.

 

Pour entrer en matière, nous ouvrons alors une porte que la normalité académique humaine a toujours essayé de dissimuler.

 

Posons-nous d'abord la question : qu'est-ce que l'amour, qu'entendons-nous par "amour" ? Nous pourrions mettre au défi quiconque de trouver une définition objective, juste ou pertinente.

 

Voyons ce que nous dit Internet :

« L'amour désigne un sentiment d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent, à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour et à adopter un comportement particulier. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Amour

 

Pouvons-nous nous contenter de cette définition ? Il est évident qu'avec notre conscience actuelle, cette définition provenant des mondes de conscience du Service de Soi est terriblement insipide.

 

Dans le "Service d'Autrui", l'Amour est complètement aux antipodes de ce qui est énoncé ici, dans le sens qu'il n'est précisément et absolument pas un sentiment d'affection, ni d'attachement envers un être vivant, bien au contraire !

 

L'amour véritable (ou inconditionnel) restitue sa pleine responsabilité et liberté d'être à l'autre, même s'il s'agit de son compagnon, ses enfants, ses parents, ses amis, ou ses animaux.

 

L'amour, cette énergie universelle (ou force nucléaire faible) n'est pas réellement définissable par la conscience limitée de l'homme. Même s'il est parfois défini comme une force créatrice, l'amour humain de 3ᵉ densité, reste néanmoins une distorsion de la loi de l'unité. Il est le principe d'où découle l'expérience du jeu du bien et du mal. Il est unité de conscience intégrée à la loi UNE et n'est donc pas polarisé.

 

En physique quantique, l'amour est cette force qui traduit et polarise la fonction d'onde en spin dextrogyre ou lévogyre. Soit pour la transformer en photon, en lumière apparente, en Lumière luciférienne et matricielle de 3ᵉ densité (l'illusion), soit en une réalité détachée de cette dernière, dans laquelle baigne encore l'égrégore des consciences humaines ignorantes de cette vérité.

 

La conscience humaine de 3ᵉ densité et les croyances associées ont ainsi toujours confondu amour et sexualité.

La sexualité n'a strictement rien à voir avec l'amour.

 

La sexualité est simplement une fonction physiologique liée à la reproduction de l'être humain et reste un acte "animal". Car l'humain possédant un corps de 3ᵉ densité – c'est-à-dire "animal" – est de par sa biologie, un animal. Mais en réalité, comme nous l'avons déjà évoqué dans le cahier 7.2, il n'est pas que "animal". Il est une créature de 4ᵉ densité, pivot entre les mondes physiques et les mondes éthériques, qui a oublié son "identité". Il est donc à la fois physique et esprit.

 

(C'est probablement la raison pour laquelle l'archétype du Christ a été assimilé au fils de Dieu, à l'amour de Dieu. Ce qui nous laisse à penser que Yeshua n'a jamais été "amoureux" dans le sens "dépendant ou attaché" à quelqu'un, sauf peut-être dans son enfance. Libéré de l'attachement et de la dépendance affective et émotionnelle, il pouvait avoir une compagne et probablement même, plusieurs partenaires sexuelles.)

 

  • Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et organiques…).
  • Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ᵉ densité. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restant identiques.
  • Son corps éthérique/spirituel est relié à la 4ᵉ densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…).
  • Sa conscience est reliée à la connaissance de 6ᵉ densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…).
  • Et il conserve toujours sa connexion à la 7ᵉ densité, à l'Un, la conscience ultime du Créateur et de la création. Et tout ce qui est..., est création, c'est la force de l'Amour !

Le sexe ou la fonction sexuelle intéresse donc généralement la duplication de l'âme en 1ère, 2ᵉ et 3ᵉ densités, alors que l'échange de l'énergie d'amour, "cette véritable force universelle", concerne la 5 et surtout la 6ᵉ densité.

 

"Faire l'amour" avec quelqu'un – même avec soi-même par l'auto-sexualité –, consiste sans aucun doute en un troc d'énergie entre deux entités non seulement humaines, mais transdimensionnelles, et préfigure une interactivité informative, un échange d'instructions et de connaissances, entre différentes densités incarnées par l'âme.

 

Nous avons expérimenté ce type d'échange transdimensionnel, notamment lorsque Sand avait eu des "relations de type sexuelles" avec des entités provenant d'autres densités.

 

Voir les dialogues avec notre Ange n°37, 38 et le Cahier 6.1.

 

 

***

 

Nous savons aujourd'hui que dans la prochaine 4ᵉ densité dans laquelle se glisse une partie de l'humanité, le nouvel humain n'aura plus besoin de se reproduire. Son âme n'aura plus de raison de se dupliquer, se fractaliser, se diviser, se recopier..., engendrer des enfants, parce qu'elle aura retrouvé ses fractales, ses autres manifestations d'elle-même disséminées à travers les densités. L'esprit humain aura retrouvé la mémoire consciente de son existence multidimensionnelle, omnipotente et éternelle.

 

L'humain de 4ᵉ densité, qu'il soit SDS ou SDA, sur le chemin du "retour à la Source de l'Être", n'aura donc plus besoin de procréer afin de générer des extensions, des miroirs, des "duplicata" d'âmes, puisque les âmes de 3ᵉ densité n'ont pour principale raison d'être que de se fractaliser jusqu'à ce que l'âme primordiale d'une entité corps-âme-esprit, retrouve la mémoire/conscience de la loi de l'Un.

 

C'est la raison pour laquelle les gardiens du seuil, nos "prédateurs personnels", s'emploient à effacer la mémoire de l'âme, aussi longtemps que nous n'arrivons pas à aligner notre corps-âme-esprit, ce qui pour nous, nous apprêterait à changer de densité.

 

Ghislaine Lanctôt affirmait : « la sexualité n'est ni bien, ni mal, simplement animale ». Elle avait on ne peut plus raison.

 

Elle aussi avait probablement repéré la portée des déviances sexuelles et des manipulations psychologiques imposées par notre société patriarcale, ses religions (et surtout par les entités de 4ᵉ densité SDS qui les supervisent).

 

Pas étonnant que tant de prêtres, évêques et papes défroqués ont succombé à leurs instincts sexuels qui, réprimés et dénaturés par l'obligation de chasteté, se sont transformés en déviances du style pédophilie ou domination. "Charmants" exemples d'amour luciférien de dépendance à autrui...

 

Cette répression sexuelle instaurée par ces "patriarches au service du malin" a gangrené les rapports humains. Ces derniers sont encore prétextes aujourd'hui à des guerres sanglantes et restent toujours perceptibles à différents niveaux d'abomination parmi les religions extrémistes juives, chrétiennes, musulmanes, hindouistes, bouddhistes confondues.

 

Même le fameux "Cointelpro" (Counter Intelligence Program du FBI et de la CIA), un programme découlant des techniques de manipulation de masse de la conscience humaine, s'en est inspiré pour créer les rituels pédo-sataniques, pornographiques, mais aussi à l'autre extrême, le tantrisme, la "kundalini-sexualité" et ces autres "foutaises New Age".

 

Ces programmes de manipulation mentale de masse avaient pour objectif de nous faire croire que des techniques d'ouverture spirituelle sont possibles grâce au "partage" de l'énergie sexuelle. Alors que c'est très précisément l'expérience du désir sexuel (ou charnel) qui a précipité les âmes humaines dans les mondes du Service de Soi !

 

Même si le tantrisme est une pratique inspirée de la religion hindouiste remontant au 5ᵉ siècle qui allie le yoga et la méditation à la sexualité, et quoi qu'on puisse en penser, il fait partie du monde magique et luciférien de 3ᵉ densité du Service de Soi, le monde de la Matrice !

 

En suivant les principes de la méditation, le tantra a "prétendument" pour objectif d'atteindre, en plein état de conscience, une sexualité "éveillée", en d'autres termes, refrénée sous couvert de spiritualité.

 

Nouveau langage, nouveau mode de communication dans le couple, cette prétendue dimension sacrée serait atteinte par la fusion entre le masculin et le féminin (représentée dans les temples hindous par Shakti et Shiva). 

  

 

En effet, le tantrisme reste absolument bénéfique pour les consciences SDS qui désirent rester captives de l'illusion de la matrice SDS. Tel qu'il est encore enseigné par les gourous "amour et lumière", c'est-à-dire en tant que technique d'éveil spirituel, le tantrisme reste au Service de Soi, et n'est qu'une subtile distorsion de la loi de l'Un.

 

Au-delà des tabous, la sexualité fait partie du développement de l'individu et en favorisant la circulation de l'énergie, peut conduire à son plein épanouissement. Mais comme elle est parfois enseignée – à tort – dans le tantra New Age, il y a néanmoins frustration et répression des fonctions hormonales. Le plaisir physique ne pouvant atteindre tout le corps, et quoi qu'on en dise, il reste limité uniquement aux parties génitales, et c'est simplement ainsi !

 

Un simple exemple : aucun homme normalement constitué et équilibré ne peut se retenir indéfiniment d'éjaculer, sous peine de développer un cancer des parties génitales. (Les enfants, victimes de ces prêtres pédophiles en sont la preuve.)

Rechercher une montée de kundalini en évitant l'orgasme, comme cela est parfois enseigné dans les séminaires tantriques "amour et lumière" pour soi-disant ouvrir la porte à toutes sortes de visions mystiques, paranormales et magiques, n'est évidemment qu'une très dangereuse mystification.

 

En tant que schéma commun de 3ᵉ densité SDS, même si l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne, cette conception spécifique de l'amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant du désir passionné et de l'amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l'amour familial ou de l'amour platonique et à la dévotion spirituelle de l'amour religieux. Ces sentiments, sous leurs diverses formes, agissent comme un facteur majeur dans les relations sociales et occupent une place centrale dans la psychologie humaine, car elles sont génératrices d'attachements, de dépendances et de culpabilité. Ce qui par leur principe même, emprisonne l'homme dans sa matrice du Service de Soi.

 

A ce propos, les Cassiopéens dans "L'Onde - Tome 8", affirmaient :

 

Q : (L) De nombreux enseignements sont promus selon lesquels l'amour est la clé, la réponse. Ils disent qu'on peut atteindre l'illumination, la connaissance et que sais-je encore, par l'amour.

 

R : Le problème n'est pas le terme « amour », mais son interprétation. Les individus de troisième densité ont tendance à embrouiller horriblement la question. Après tout, ils confondent de nombreuses choses avec l'amour. Alors que la réelle définition de l'amour – tel que vous le connaissez – est également inexacte. Il ne s'agit pas forcément d'un sentiment que l'on ressent et que l'on peut également interpréter comme une émotion. Comme nous vous l'avons déjà dit, l'essence de la lumière – qui est connaissance – est l'amour, et ce principe a été corrompu, lorsqu'on déclare que l'amour mène à l'illumination. L'Amour est Lumière qui est Connaissance. L'amour n'a aucun sens dès lors qu'on lui applique les définitions d'usage propre à votre environnement. Pour aimer, il faut connaître. Et connaître, c'est posséder la lumière. Et posséder la lumière, c'est aimer. Et avoir la connaissance, c'est aimer.

 

 

Pour comprendre ce qu'est véritablement l'amour de 4ᵉ densité, nous devons faire abstraction de la sexualité telle que nous la comprenons pour l'humain.

 

Cela ne signifie nullement que les besoins sexuels auront disparu. Ils feront simplement partie des besoins sexuels primaires du corps physique, resteront "animal," mais ne seront plus en rapport avec le besoin de procréer. Ils continueront pendant un certain temps à être alimentés par le chakra sexuel inférieur. Néanmoins, le sexe ne sera plus un facteur de possession, ni de consommation.

 

Au fur et à mesure de notre transition vers la 4ᵉ densité, les "relations sexuelles" seront remplacées par des besoins d'échanger de l'énergie/information et alimenteront plutôt nos centres supérieurs de créativité.

 

Ces besoins de partager les énergies sexuelles entre féminin et masculin se feront alors naturellement à travers les sphères supérieures de la Conscience créatrice et les échanges d'énergie entre deux personnes, ne se feront plus par le chakra sexuel inférieur comme chez l'humain, mais par le chakra sexuel supérieur situé au niveau du plexus solaire.

Créer, co-créer ou procréer ? Simple question de sémantique.

 

N'est-il pas vrai que les cancers de la prostate, des testicules chez l'homme ou celui des ovaires de l'utérus, des seins chez la femme, sont décodés par les praticiens en décodage biologique ou par certains psychothérapeutes, comme des symptômes liés soit au besoin de procréer (enfanter), soit au besoin de créer, porter un projet ? Donc porter, enfanter ou accoucher d'un projet ou d'un enfant, signifie simplement pour l'humain de 3ᵉ densité, de se consacrer à vouloir construire un nouveau futur, n'est-ce pas ?

 

En réalité, si on peut le formuler ainsi, la sexualité de 4ᵉ densité consiste en un échange d'énergie entre partenaires, entre individus, pour rassembler des consciences (et non plus pour les disséminer en enfantant), en vue de construire un nouveau futur. Autrement dit, pour réaliser une ligne temporelle sur laquelle l'âme est émancipée du cycle de l'illusion de la réincarnation.

 

Un échange masculin-féminin de 4ᵉ densité se passe donc de manière prépondérante au niveau des centres supérieurs. Il n'intervient plus uniquement dans le domaine primaire et bestial de 1ère, 2ᵉ et 3ᵉ densités. En réalité, il ne sera plus d'ordre purement sexuel, comme le conçoit la conscience de l'humain de 3ᵉ densité, puisque cet échange énergétique consiste en un transfert d'informations mettant en jeu l'émotionnel, l'intellect et les centres de l'Esprit de 5, 6 et 7ᵉ densités.

 

Cette transposition de la sexualité concernant les trois premiers centres énergétiques de l'homme vers une conscience sexuelle supérieure se réalise déjà pour certains de nos jours. Car nous avons remarqué que nos pulsions sexuelles l'un envers l'autre diminuent d'intensité. Nos échanges intimes se produisent de moins en moins souvent par un acte sexuel, mais de plus en plus nous nourrissent, lorsque nous échangeons et partageons nos informations, nos expériences, notre savoir et notre Connaissance.

 

Et pour cause ! Sur le plan de la "sexualité animale" Sand et moi, sommes déjà devenus sexuellement autonomes et "biologiquement" et énergétiquement androgynes. Car nous avons conscience que nous ne nous appartenons pas l'un/l'autre et que nous n'avons nul besoin de signer un quelconque acte de mariage ou autre contrat avec les opérateurs de la matrice.

 

Nous ne nous considérons donc pas comme un couple "sexué". Pourtant, nous sommes énergétiquement et "informationnellement" inséparables, ceci également sur d'autres plans où nous sommes incarnés.

 

Il se dit aussi que le cerveau gauche est plutôt masculin et le cerveau droit plutôt féminin. Mais cette différence de polarités entre cerveaux n'est depuis un certain moment plus du tout d'actualité. Et ce n'est pas la sexualité animale qui y a changé quelque chose, mais bien les échanges d'informations, "l'Éros entre nous".

 

L'idée d'une personnalité qui soit masculine ou féminine ne relève que de l'archétype et ne peut décrire une réalité. Elle brosse des stéréotypes auxquels en tant qu'homme et femme, nous nous comparons constamment l'un à l'autre, même bien plus que nous ne le réalisons en général. Bien que les hommes soient d'apparences différentes des femmes, leur cerveau n'est la plupart du temps que d'un "genre non conforme" car de plus en plus, ils redeviennent androgynes.

 

La non-dépendance énergétique à l'autre, cette initiation à l'androgynie sexuelle, qui dépasse les trois premières densités d'existence relève d'une exigeante préparation chamanique pour dépasser la honte et la culpabilité, nos attaches les plus redoutables à la matrice patriarcale reptilienne.

 

Cet apprentissage pour accepter d'échanger nos expériences les plus intimes, jusqu'aux informations transdimensionnelles les plus insolites ou impensables pour la plupart, met en jeu l'Éros. Mais aussi dans le cas de cette "initiation" de la vie de partage de la Connaissance, l'auto-érotisme et l'auto-sexualité.

 

Castaneda, dans son œuvre, relate une expérience chamanique dans laquelle, afin d'échapper à des poursuivants, Don Juan est enjoint à dépasser sa honte en s'obligeant à se déguiser en femme.

 

Moi-même je relate des expériences de ce genre dans la vidéo n°4 à Mas-Cabardès, lorsqu'un jour costumé de vêtements féminins, je fus projeté sur des plans d'existence où je me voyais en femme. Éros, porteur de mes mémoires transdimensionnelles, était à l'œuvre et nous comprenons pourquoi aujourd'hui.

 

Et à ce propos, Giuliana Conforto prétendait que la force créative de l’Éros est une force nucléaire. Il existe deux sortes de forces nucléaires. La force nucléaire forte, la plus dangereuse, celle des bombes atomiques, des centrales nucléaires, etc., mais aussi la force nucléaire faible, qui elle peut accomplir des miracles, parce qu'elle peut annuler la force nucléaire forte responsable de "notre illusion de 3ᵉ densité" [l'illusion luciférienne]. Cette force est la véritable abondance, l'énergie libre et copieuse à disposition de tous. Cette force électro-atomique faible n'est pas mesurable par les instruments technologiques, mais elle est ressentie par les organismes comme la force de l’Éros, de l’émotion, de l'Amour, de la vie...

 

Elle est cette énergie nucléaire faible ou énergie noire, qui en réalité recèle tous les potentiels réalisables et réalisés de l'univers. Nous savons aussi que nous baignons constamment dans cette énergie noire, et que notre cerveau y puise des informations.

 

En définitive, l'énergie noire recèle toutes les informations qui révèlent et composent notre existence, et ceci sur chaque plan où est incarnée notre âme. Pas étonnant que lors de certaines méditations, des stimuli érotiques en revêtant des habits féminins m'avaient catapulté dans d'autres réalités dans laquelle mon âme habitait un corps de femme.

 

Alexandre Rougé écrit :

 

[...] Tout le processus d’éveil et de libération, en quelque sorte, peut s’envisager dans le sens qu’il s’agit, pour l’individu engagé dans celui-ci, d’accéder à un mode féminin d’être, une manière féminine de penser, de parler et d’agir, la modalité féminine de la conscience. (« Travail de femme et jeu d’enfant ».) Manière et modalité qui résident au fond dans un état de disponibilité, de réceptivité, état intérieur que toutes les méthodes et techniques de purification et de méditation cherchent invariablement à rendre accessible. Par nature (et pour schématiser), cet état, latent chez les deux sexes, se manifeste de manière plus claire, simple et spontanée chez les femmes que chez les hommes. (Annick de Souzenelle en a offert une belle expression dans son étude sur Le Féminin de l’Être.) [...]

 

[...] Jacqueline Kelen, dans L’Eternel masculin, résume bien la situation en constatant que « diverses attitudes masculines montrent un profond rejet du Féminin qui est, au fond, la véritable blessure de l’homme. Plus l’homme abaisse et renie la femme — en ses divers visages de mère, de sœur, d’amante, d’épouse —, et plus il aggrave sa propre blessure, son manque essentiel. » A l’inverse, pour l’homme en quête de (sa) complétude et de (la) plénitude, le « féminin de l’Être » est bien le trésor à découvrir, la récompense du héros qui a su aller au bout de lui-même pour accéder à l’au-delà de lui-même — retourner en lui et [s’y retourner pour se découvrir et s’accomplir. « Caresse ou incendie, conclut Kelen, la rencontre du héros avec la femme a toujours pour sens de le pousser au bout de lui-même, de l’entraîner vers sa profondeur et lui faire toucher le ciel. » A chacun d’aller en ce sens. [...].

 

 

 

Alors la première fois que j'avais enfilé un vêtement féminin, en l'occurrence un collant fin, en essayant de contenir ma honte, j'ai eu un léger malaise. Je ne le compris que plus tard. Ce malaise m'a fait percevoir un "autre environnement" dans une sorte de tournis, une sorte de vertige, une convulsion sur moi-même, une sorte de retournement en soi que précisément dans son œuvre Castaneda décrivait comme tel.

 

Ce retournement intérieur m'avait connecté à d'autres réalités. J'étais quelque part trépassé à ma réalité présente, car j'ai osé réaliser l'inconcevable, l'inconvenable, l'immoral. J'ai osé bravé le conventionnel, l'interdit.

 

Comme elle l'explique bien en tant que physicienne, Giuliana a découvert que :

 

[...] le spin de la vie est le plus souvent antihoraire (ex les coquillages, les molécules organiques), donc non détectable par les instruments et la technologie humaine qui elle ne détecte que la force électroforte, les spins à droite. Lorsque les spins cellulaires d'un organisme sont orientés vers la droite, ce dernier vieillit. Lorsque le même organisme est soumis à un champ électrofaible à rotation antihoraire, il s'arrête de vieillir et rajeunit.[…]

 

 

Ce spin à gauche est rétabli par exemple, pendant le sommeil, lorsqu'on ne perçoit plus le temps linéaire.

 

[...] Le spin à droite est donc simplement lié à notre perception du temps. C'est le courant vital (les bosons neutres de notre 3ᵉ dimension [densité - NdT]) qui semble tourner en sens horaire, mais ils ne tournent pas, c'est une illusion. […] 

 

 

Lors de mes "malaises transdimensionnels", effectivement mon environnement paraissait "se mouvoir, tournoyer" dans le sens antihoraire.

 

Je me rappelle aussi, puisque j'ai travaillé dans des services de fin de vie, que les quelques rares personnes qui réussissaient à raconter leurs derniers instants de conscience, semblaient décrire que leur environnement "tournoyait" vers la gauche.

 

En effet, trépasser (passer trois fois, se libérer des trois premières densités) ou passer l'arme à gauche pourrait bien décrire ce mouvement qui lorsque le corps décède, libère son âme dans une spirale apparemment lévogyre.

 

Ce n'est donc que lorsque le corps meurt, que se restaure le véritable sens de la vie. Le spin nucléaire gauche qui indique la rotation des noyaux atomiques autour d'eux-mêmes, constitue une réalité non perceptible par une conscience humaine de 3ᵉ densité.

 

Cette énergie invisible, impalpable, non quantifiable est l'Éros, c'est la force créative, celle de la force nucléaire faible. Lorsque les spins cellulaires d'un organisme sont orientés vers la droite, ce dernier vieillit, puis un jour meurt. Mais lorsque le même organisme est soumis à un champ électrofaible à rotation antihoraire, il s'arrête de vieillir et rajeunit. Dans le prolongement de cette idée, on pourrait donc affirmer que quelque part, nous "retournons dans notre passé", puisque ma sensibilité émotionnelle à ce champ électrofaible m'avait reconnecté à des incarnations en tant que femme.

 

Giuliana affirme que la Terre elle-même possède un spin antihoraire, son sens de rotation est vers la gauche. Ce qui signifierait que l'âme de la Terre est immortelle et tout comme l'être humain, elle glisse tout au long de son existence de densité en densité. À chacun des glissements, l'Éros, ce champ électrofaible non mesurable, devient "ardent et réel" pour l'organisme qui s'y accomplit.

 

Dans le même ordre d'idée, voici ce que Don Juan disait à Castaneda : (extrait du livre "Les passes magiques" de Carlos Castaneda :

 

– Dans le corps, chaque centre énergétique laisse apparaître une concentration, une sorte de tourbillon d’énergie.

Pour l’observateur qui voit, elle semble tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, un peu comme dans un entonnoir. La puissance d’un centre donné dépend de la force de ce mouvement. S’il est à peine perceptible, c’est que le centre est épuisé, vidé de son énergie.

 

Quand les sorciers des temps anciens examinaient le corps avec leur œil qui VOIT, poursuivit don Juan, ils remarquaient la présence de ces vortex.

 

Poussés par la curiosité, ils en ont dressé une carte.

 

– Y a-t-il beaucoup de ces centres dans le corps, don Juan ? demandai-je.

 

– Des centaines, sinon des milliers ! assura-t-il.

On pourrait dire que l’être humain n’est rien d’autre qu’un agglomérat de milliers de spirales tourbillonnantes, dont certaines si petites qu’elles ressemblent, disons, à des têtes d'épingle, mais des têtes d’épingle très importantes.

La plupart des vortex sont des tourbillons d’énergie.

 

Selon les cas, l’énergie les traverse librement ou y reste accrochée.

Mais il y en a six qui sont tellement grands qu’ils méritent une attention particulière. Ce sont les centres de vie et de vitalité. L’énergie n’y est jamais figée, mais parfois, l’apport énergétique est si faible que c’est à peine si le centre tourne.

 

Don Juan m’expliqua que ces énormes centres vitaux étaient situés en six régions du corps. Il les énuméra par ordre d’importance, dans la conception des shamans.

 

Le premier se trouvait dans la région du foie et de la vésicule biliaire ; le second au niveau du pancréas et de la rate ; le troisième près des reins et des glandes surrénales ; le quatrième était situé dans le creux à la base du cou ; le cinquième était celui de la matrice et le sixième se situait au-dessus de la tête.

 

À en croire don Juan, le cinquième centre, qui ne concerne que les femmes, avait parfois une sorte d’énergie spéciale qui présentait aux yeux des sorciers une apparence liquide. C’était une caractéristique que seules quelques femmes possédaient. Sa fonction, semblait-il, était celle d’un filtre naturel qui arrêtait les influences parasites.

 

Le sixième, situé au sommet de la tête, avait quelque chose de très anormal, pour ne pas dire plus, dans la description qu’en donnait don Juan, qui d’ailleurs ne voulait rien avoir à faire avec ce centre. Il le disait animé, non par un tourbillon d’énergie, comme les autres, mais par un mouvement pendulaire, d’avant en arrière, qui rappelait un peu le battement d’un cœur.

 

Pourquoi l’énergie de ce centre est-elle si différente, don Juan ? lui demandai-je.

– Ce sixième centre d’énergie n’appartient pas tout à fait à l’homme, dit-il.

Vois-tu, nous autres humains, nous sommes comme qui dirait assiégés.

Ce centre a été pris d’assaut par un envahisseur, un prédateur invisible. Et le seul moyen que nous avons de le vaincre, c’est de fortifier tous les autres centres.

 

– N’est-ce pas un peu paranoïaque, de se sentir ainsi assiégé, don Juan ? suggérai-je.

– Eh bien, pour toi, peut-être, mais certainement pas pour moi, répliqua-t-il.

 

 

Pour la conscience humaine, il est donc finalement très difficile de comprendre que l'illusion de notre monde est due à ces milliers, voire milliards de vortex, de spins gauches ou droits qui forment notre réalité ou leurs potentiels.

 

Prenons alors un exemple que Sand et moi expérimentons quotidiennement, l'échange d'informations, d'idées, de concepts... Pour partager nos connaissances, nous utilisons donc la parole, le verbe. Et en bon français, ce partage s'appelle communiquer. Soulignons donc ici que par "communiquer", le langage codé des oisons entend "commun" et "niquer". Niquer en commun ou niquer communément. N'est-ce pas curieux ?

 

Le mot "niquer" signifie avoir des relations sexuelles avec autrui mais aussi tromper, duper quelqu'un !!! N'est-ce pas ?

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/niquer/54628

 

Poussons alors le bouchon un peu plus loin en osant affirmer que communiquer avec autrui, c'est quelque part nous "duper ou leurrer" avec assiduité, puisque nous passons notre existence à nous "justifier" de nos idées, ou à convaincre autrui de nos croyances.

 

Et pourquoi agissons-nous ainsi ?

 

Tout simplement parce que nous humains, avons perdu la faculté de transmettre nos pensées, communiquer par télépathie et pour y parer, nous nous retrouvons tant bien que mal réduits à être obligé de parler !

 

En effet, à de nombreuse reprises Sand et moi nous sommes surpris à passer des moments interminables à discourir de choses et d'autres, avec chacun notre vocabulaire pour ne pas réussir à s'entendre, puis finalement nous apercevoir que nous parlions de la même chose.

 

Alors s'entendre ne signifierait-il pas : entendre au travers d'un autre moi ? S'entendre à travers l'autre, ne serait-il pas précisément un concept, une réalité de 4ᵉ densité ?

 

 

 

Lorsque nous avons questionné le Soi supérieur à propos d'une description de la 4ᵉ densité, nous avons même acquis d'autres concepts. Voici ce que l'Ange nous a transmis :

 

Vous savez maintenant que lorsque vous êtes amenés à échanger des informations, des idées, des concepts avec des entités provenant d'autres dimensions, elles ne se mettront jamais à parler, à vous répondre de vive voix. Mais elles utiliseront naturellement la télépathie, la transmission de pensée, pour vous transmettre un message, n'est-ce pas ?

 

Lorsque vous parviendrez en 4ᵉ densité, vous n'aurez donc plus besoin de parler, vous utiliserez simplement la transmission de pensée. Mais si vous devez communiquer avec des êtres de 3ᵉ densité, vous pourrez si besoin est, continuer à utiliser le langage parlé.

 

Ceux parmi les humains qui auront choisi de passer en 4ᵉ densité SDS ou SDA, peu importe leur choix, expérimenteront ces facultés et ces notions, des états d'être qui pour l'instant vous apparaissent encore comme tout à fait inconcevables.

 

L'humain de 4ᵉ densité pourra communiquer avec des mots ou selon les circonstances ne pas parler et utiliser ses facultés de télépathie.

 

Cette 4ᵉ densité sera donc peuplée d'humanoïdes qui posséderont la faculté d'apparaître à tout moment en 3ᵉ densité (celle que vous peuplez encore pour le moment) avec un corps physique densifié et des vêtements de 3ᵉ densité..., ou alors choisir de rester invisibles.

 

Ils pourront aussi manger viandes et végétaux si nécessaire, ou au besoin ne pas manger du tout.

 

(Pour avoir une petite idée de ce que sont les entités des densités supérieures, nous invitons le lecteur à relire :

  • Entretien avec l'alien, probablement un être de 6ᵉ densité,
  • les histoires d'ECK, probablement un être de 5ᵉ densité,
  • ma rencontre avec Luna et Stella, ou avec la mamie (les bottines dans la neige), probablement des entités de 4ᵉ densité SDA qui ont pris forme humaine pendant un court laps de temps, pour me transmettre inconsciemment (afin de respecter mon libre arbitre humain), des paquets d'informations qui se distillent encore dans ma conscience, à l'heure où j'écris.) 

 

La 4ᵉ densité ne sera plus disharmonie en soi ni disharmonie avec l'autre, ni avec les autres peuples. Elle est un plan qui utilise majoritairement des formes humanoïdes bipèdes qui entre elles n'usent plus de la parole, simplement parce que les individus seront totalement conscients de la pensée de l'autre.

 

En 4ᵉ densité, vous serez également tous totalement conscients de la vibration des autres "Soi" qu'ils soient SDS ou SDA. Les différences individuelles même prononcées seront homogénéisées par la conscience du consensus de groupe. Chacun respectera l'orientation (SDS ou SDA) de l'autre.

 

Cependant, comme "ce qui est en bas est comme ce qui est en haut", les SDS auront encore à apprendre de leurs autres "Soi" et continueront à transgresser le libre arbitre de ceux restés en 3ᵉ densité. Alors que les entités au "Service d'autrui - SDA" auront atteint un stade de compassion qui tout en respectant le libre arbitre, les autorisera à veiller sur les êtres de 3ᵉ densité.

 

La 4ᵉ densité est pour l'instant un concept encore difficile à appréhender pour la conscience humaine, mais petit à petit vous vous apercevrez qu'il vous semblera de plus en plus familier, et pour cause ! Vous vous souviendrez que vous en êtes aussi devenus les créateurs !

 

Sand et Jenaël

 

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