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CAHIER 12 - Fausse doctrine sur le nucléaire & L'hydrogène et le changement de densité & Kaskarot et Kásskara

 

Audio et PDF disponibles en bas de page

 

Comme il se doit, nous allons encore parler d'expériences. Nous sommes mi-mars et les quelques belles journées printanières alternent avec de subites vagues de froid polaires. Néanmoins, tous les jours et quasiment par tout temps, nous nous astreignons à une heure de marche au moins dans la nature, afin de nous décharger des ondes électromagnétiques accumulées par notre travail sur ordinateur.

 

Nous adorons nous balader et explorer la région, mais depuis quelques temps déjà, nous percevions que quelque chose ne tournait pas rond. Nous pouvions parfaitement ressentir que l'air ou l'atmosphère que nous respirions était en train de changer. Et nous l'avions déterminé que très récemment : quelque chose dans la composition de l'air était probablement en train de se modifier.

 

Habitués à pratiquer des randonnées dans la région ou parfois dans les Pyrénées, nous avions déjà remarqué que quelquefois nous manquions de souffle. Terrassés par des accès de fatigue inexplicable, nous avions de plus en plus souvent du mal à respirer.

 

De plus, un autre phénomène que nous avions déjà relevé il y a quelques temps et qui par moment nous gênait, nous interpellaient encore. Il s'agit des douleurs oculaires. Effectivement, qu'il y ait du soleil, que le ciel soit nuageux ou même pluvieux, les brûlures persistaient, au point que parfois, de travailler devant l'écran électromagnétique de l'ordinateur, nous soulageait avantageusement. Puis il y a quelques jours Sand pointa le problème.

 

"C'est l'air que nous respirons qui nous brûle les poumons et qui fait mal !", lança-t-elle. "Quelque chose change dans l'atmosphère. Je le sens maintenant ! Pourquoi ce bon air des Pyrénées nous fait‑il peiner à ce point ?"

 

Depuis ces derniers jours, l'état de santé de Jenaël se dégrada sévèrement et subitement.

 

Il raconte :

 

Depuis deux semaines environ, des brûlures très douloureuses se faisaient ressentir de temps en temps derrière le sternum. Mettant d'abord en cause le froid qui refroidissait l'air inspiré ou peut‑être les effets de l'âge lorsque nous marchions un peu trop vite, je ne m'en suis pas trop préoccupé. Mais ces brûlures devenaient de plus en plus persistantes et douloureuses, provoquant parfois des difficultés respiratoires si intenses, qu'elles me forçaient trop souvent à m'arrêter de marcher.

 

 

Les trois derniers jours, elles me faisaient si atrocement souffrir, que même au repos elles devenaient insoutenables, m'empêchant même de dormir pendant quelques nuits. L'échelle de douleur flirtait allègrement avec le 19/20 ! Autant dire que je m'attendais à changer de densité sans mon corps... Car ce dernier présentait des symptômes complètement incohérents dans le contexte de mon quotidien. Et d'après ce que je me rappelle de mes cours d'infirmier pendant mon service militaire, mon organisme présentait visiblement des symptômes d'intoxication par un agent NBC (nucléaire biologique chimique).

 

 

À plusieurs reprises, les glandes salivaires sous-maxillaires, parotides et sublinguales, se resserrèrent violemment comme si elles étaient affectées par un agent toxique, me pressant à saliver sans discontinuer et cracher de grande quantité de glaires liquides dans une bassine.

 

De plus, les pommettes et le crâne très douloureux, les bras et avant-bras ankylosés, les extrémités parfois violacées et les jambes froides, je devins sujet à plusieurs épisodes de fièvre froide accompagnée comme il se doit, d'atroces courbatures. Mais mon rythme cardiaque restait étonnement très stable.

 

Toutefois, pendant toute la durée de cette étonnante maladie, malgré mon anxiété et "ma peur d'y rester," je demeurais étonnamment calme. J'avais demandé à l'Ange de m'aiguiller sur des indices qui me permettraient de comprendre la raison de mes étranges symptômes.

 

 

À un certain moment lors de mon repos forcé, je pus ainsi distinguer à travers une espèce de fin voile, du personnel médical s'affairant autour d'un malade alité, visiblement mal en point. Par cette vision, je compris qu'il s'agissait de personnel médical militaire des années 70, puisqu'il était revêtu de sarraus tissu beige et kaki. Le malade avait été irradié ou gazé sur un champ de bataille et visiblement, souffrait atrocement.

 

 

 

 

Le surlendemain, tandis que j'allais un peu mieux, j'eus une nouvelle vision dans laquelle ce malade, lui aussi, semblait tiré d'affaire.

 

Fort de ces indices et déductions, j'avais questionné mon Soi supérieur à propos de mes symptômes. Nos soupçons et la remarque de Sand furent alors confirmés et les informations à leur propos devenaient de plus en plus pertinentes.

 

Vous êtes en train d'éprouver les premiers effets du changement de densité. L'air change de densité, vos sens subissent et ressentent les effets de ces mutations, car tout votre milieu de vie est entré dans le processus de changement de densité.

 

Grâce à la prise d'iode votre génome se modifie. De nouveaux brins entrent en fonction. Et toute activation de ces nouveaux brins d'ADN, engendre de profondes répercussions sur la physiologie et la biologie du corps.

 

Nous disserterons plus loin des effets du thermonucléaire, mais tu as d'ores et déjà une idée de ce à quoi pourraient s'apparenter les douleurs de brûlures nucléaires. C'est aussi à cause de la contamination de l'air, à laquelle se rajoute un important potentiel de guerre nucléaire, qu'il commence à devenir vital pour tous, de vous astreindre sans tarder à la supplémentation en iode.

 

Même si le processus de réception de nouveaux codes génétiques devrait rester tout à fait naturel et physiologique, il devient quasi impossible à "l'humain lambda" d'intégrer les nouveaux brins, tant les interférences transdimensionnelles sont opérantes. Mais certaines personnes dont le Soi futur sait qu'elles sont capables de les encaisser, ont reçu le "paquet".

 

Car en tant normal, l'intégration de ces néo-codes génétiques peut demander des mois, voire des années et pour certains plusieurs vies, jusqu'à ce qu'ils puissent s'ajuster à un tel niveau d'énergie. Alors activant puissamment le système endocrinien et les mouvements des centres énergétiques du corps, le plexus, le cœur, la thyroïde et la tête en souffrent.

 

Mais les choses, malgré ce qu'elles paraissent, sont toujours bien faites. Car il doit y avoir une souffrance "appropriée" pour qu'un individu puisse agir en tant que "canal" pour recevoir les codes de ce genre de mutation génétique. Et pour toi cette intégration, par la "souffrance appropriée", était à la limite du supportable. Car au plus la souffrance est aiguë, au plus tes émotions dites négatives du genre peur, anxiété, lutte, non acceptation... doivent être maîtrisées. Autrement dit, celui qui reçoit ces nouveaux brins d'ADN doit arriver à faire l'expérience de l'acception totale du processus.

Et lorsqu'il parvient à maîtriser son émotionnel, en quelque sorte à "souffrir en silence" afin que son Soi profond puisse transcender la douleur et se modifier sans prendre de l'énergie à ses proches, les nouveaux brins s'intègrent et commencent à s'aviver dans son génome. Pour faire une analogie, ce processus correspondrait à un programme chargé pour une mise à jour, dans un logiciel informatique qui a bogué.

 

Ce programme génétique provenant du Soi futur sert, en fin de compte, à rééquilibrer l'énergie "positive" des centres supérieurs. Et par résonance magnétique, ces nouveaux codes vont se propager pour modifier les centres supérieurs de ceux qui entrent en résonance avec cet individu. On pourrait dire que Jenaël a servi de premier canal récepteur à ces nouveaux codes, dont les LEO pourront profiter.

 

Il faut toutefois savoir qu'en même temps que vous recevez ces nouveaux codes, les prédateurs SDS s'acharnent à conduire des interférences hyperdimensionnelles qui peuvent alors vous faire souffrir à l'extrême. Parfois aussi, comme cela a été le cas pour Jenaël, des mémoires traumatiques provenant de vies parallèles restent à prendre en compte.

 

Comme vous l'avez déjà relayé à plusieurs reprises, le processus de changement de densité fatigue énormément votre corps-âme-esprit, jusqu'à ce que le corps, en réponse à sa nouvelle génétique, puisse adapter sa physiologie aux fréquences plus élevées. Alors cessez de vous inquiéter de vos petits bobos et lorsque les symptômes deviennent trop importants, arrêtez de vous agiter et reposez‑vous au mieux.

 

Pour faire d'autres rapprochements à ce passionnant jeu de piste, sachez que les fréquences de ces nouveaux codes génétiques sont transportées par l'onde galactique. Cette onde a besoin d'un support pour se propager, ce qui nous amène maintenant à en parler.

 

Apprenez que l'homosphère (région de l'atmosphère comprise entre le sol et 100 kilomètres d'altitude), est désormais saturée en éléments et isotopes radioactifs, spécifiquement en certaines régions. Ces éléments radioactifs déclencheront de plus en plus de symptômes qui commenceront à alarmer sérieusement les gens qui ne sont pas renseignés sur les changements en cours.

 

Même si la guerre nucléaire n'est pas encore déclarée "officiellement", il faut savoir que des particules radioactives en suspension dans l'air sont déjà en train d'opérer. Mais il n'y a pas à vous en alarmer outre mesure pour le moment car la connaissance, lorsque vous l'appliquez, vous protège.

 

Ceci dit, lorsqu'un accident nucléaire vient de se produire ou qu'une bombe nucléaire vient d'exploser, il est effectivement plus sage de ne pas rester dans les environs pendant un certain temps. Mais en fonction de la nature des éléments radioactifs en cause dans la catastrophe, l'un des effets immédiat de l'augmentation brutale des radiations, est celui de fragiliser les rideaux dimensionnels.

 

Prenons l'exemple de la catastrophe de Tchernobyl. Ce terrible accident industriel, camouflé en catastrophe nucléaire, a provoqué l'ouverture d'une fenêtre dimensionnelle sur un changement de réalité. En évidence, il avait été déclenché, contrôlé et surveillé par les entités de 4ème densité, avec la complicité de certaines agences gouvernementales. Ces dernières, soudoyées pour "mésestimer" les effets de cette catastrophe, avaient détourné leur surveillance "à des fins expérimentales et scientifiques", pour que les opérateurs puissent en surveiller les effets à court terme.

 

Car ce n'est pas la radioactivité résiduelle qui est dangereuse en tant que telle pour l'homme, mais ce sont ses effets "magnétiques et vibratoires" niés ou censurés par l'omerta et par le manque de connaissance.

 

Le danger provient du fait que, par manque de connaissance, la physiologie de l'homme résiste à s'y adapter, puisque le centre de croyance de l'esprit, persiste à croire tout ce qui se raconte sur les dangers de la radioactivité.

 

Sachez simplement que si la radioactivité résiduelle était aussi dangereuse qu'on voudrait vous le faire croire, il n'y aurait plus depuis belle lurette, aucun être vivant sur Terre. Les environs de Tchernobyl redevenu florissant et empli de vie (malgré la pollution au césium 137) en sont la preuve, car la flore et la faune sauvages y prolifèrent en l'absence de l'homme.

 

http://www.rfi.fr/europe/20160425-30-ans-tchernobyl-nucleaire-ukraine-renaissance-nature

 

Voir le forum Cassiopéea qui corrobore pas mal d'informations avec celles qui nous ont été communiquées : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-25-mars-2017.43961/

 

* * *

 

Venons-en maintenant à l'hydrogène.

La radioactivité résiduelle possède la propriété de changer légèrement la composition de l'air, parce qu'elle en modifie son taux d'hydrogène. Car lorsqu'une bombe à hydrogène ou un réacteur nucléaire saute, l'explosion ouvre immédiatement une fenêtre dimensionnelle sur le lieu de la catastrophe, projetant instantanément tout le biotope touché dans un autre espace temporel. Il en est de même pour les explosions cométaires en haute atmosphère. Après l'explosion, une réaction en chaîne provoquée par les éléments radioactifs, se met à désagréger l'air, en "agitant" puis déplaçant les électrons de l'oxygène.

 

 

 

Lors d'ouvertures de fenêtres dimensionnelles, des êtres transdimensionnels peuvent apparaitre dans les molécules de dihydrogène en suspension dans l'atmosphère.
Lors d'ouvertures de fenêtres dimensionnelles, des êtres transdimensionnels peuvent apparaitre dans les molécules de dihydrogène en suspension dans l'atmosphère.

 

 

Pour comprendre le phénomène, il faut savoir que lorsque vous croyez respirer de l'oxygène, vous respirez du dioxygène (O2). Ce dioxygène est enclin à céder des électrons, lorsque par un incident nucléaire de ce genre, certains isotopes radioactifs se retrouvent dans l'atmosphère et entrent en réaction avec lui.

 

Ces ions O2 séparés du dioxygène de l'air vont alors se fixer sur d'autres gaz de l'air et altérer sa stabilité, diminuant ainsi le taux de dioxygène (oxygène), mais augmentant aussi la proportion de dihydrogène (l'hydrogène "respirable") dans l'homosphère, allégeant ainsi la densité de l'air.

L'hydrogène, le premier élément dans le tableau périodique, est l'élément le plus léger dans l'univers. Il est aussi le plus abondant constituant des étoiles entrant dans la composition de l'une des molécules vitales pour la vie : l'eau. Comme vous le savez, l'eau est un corps pur dont la molécule est composée de deux atomes d’hydrogène (H+) reliés à un atome d’oxygène (O2). Sa formule chimique ou atomique s'écrivant H2O. 

 

 

 

Le langage des oiseaux annonce que l'oxygène "oxyde les gènes. Oxyder les gènes signifie oxyder la génétique et donc abîmer le génome, vous poussant ainsi à vieillir. Lorsque le génome s'abîme, les télomères ne remplissent plus leurs fonctions et l'organisme se fatigue et décline. Ce phénomène de vieillissement constitue donc une des singularités de la 3ème densité.

 

Mais alors, que nous dit l'hydrogène à ce propos ?

 

L'hydrogène hydrate les gènes, c'est-à-dire qu'il permet aux gènes de l'ADN de passer de l'état solide, densifié, matériel, à un état plus liquide, donc moins dense. En clair, l'hydrogène permet aux gènes de changer de densité, donc de s'élever vers une densité supérieure. Et lorsque la génétique franchit une densité supérieure, votre environnement, qui précisément est l'expression de vos gènes, change lui aussi de densité. La boucle est alors bouclée.

 

N'avons-nous pas déjà abordé ce propos quelque part ? Car le changement de densité est effectivement déjà entamé.

 

Reprenons. Lors de réactions nucléaires en chaîne de ce genre, l'air s'enrichit en hydrogène. Ce dernier est un gaz si léger qu'il échappe à la gravité terrestre. Il est également un antioxydant très puissant qui participe à éliminer les radicaux libres, réduisant ainsi le stress oxydatif.

 

En pénétrant là où d'autres antioxydants ne le peuvent pas, comme dans les neurones et dans le noyau des cellules, l'hydron de l'hydrogène aide à prévenir les maladies et le vieillissement prématuré. (Un hydron est un cation hydrogène, de symbole H+. Comme l'atome, l'hydron est un noyau nu, sans électron.)

 

Lorsque l'hydrogène brûle dans l'air, il produit de l'eau, d'où également son nom composé par le préfixe "hydro" signifiant "eau" et par le suffixe "gène", faisant référence à la génétique et qui signifie également générer/engendrer. L'hydrogène est parfois utilisé pour la conservation de la viande et pour la préservation de séquences génétiques en laboratoire.

 

Quant au dihydrogène, l'hydrogène que vous respirez, c'est l'ion moléculaire le plus simple, composé de deux cations ou hydrons unis par un unique électron. Il se forme notamment dans les abysses interstellaires sous l'effet du rayonnement cosmique et peut aussi être regardé comme support ou véhicule de la conscience de l'esprit. Il peut donc être considéré comme l'élément primordial qui constitue les densités supérieures formant le substrat de la force nucléaire faible. Conduisant la mémoire, le dihydrogène intervient dans les phénomènes télépathiques ou kinesthésiques.

 

L'hydrogène doit donc être considéré comme la substance-nourriture primordiale qui alimente le système nerveux, une sorte de stimulus qui agit sur la libération de neurotransmetteurs et d'hormones dans le corps.

 

De par là, les événements extérieurs, ces stimuli constitués d'impressions et de ressentis, de même que les interactions physiques, sexuelles et nutritionnelles, deviennent des signaux électriques ou magnétiques qui, véhiculés par l'hydrogène, produisent des interactions avec et dans le corps, amenant ce dernier à produire des neurotransmetteurs et des hormones qui à leur tour modifient l'état et la biologie du corps.

 

Ces interactions se produisent à différents niveaux. Qu'elles soient physiques, émotionnelles ou mentales, elles peuvent modifier radicalement l'état émotionnel ou mental d'un individu, si bien que les molécules d'hydrogène qui alimentent les neurones, constituent à elles seules, l'interaction dynamique du système physique avec son environnement physique ou non-physique.

 

Ainsi très souvent, ce qui affecte réellement la personne, sont des circonstances d'abord non‑matérielles provoquées par des situations matérielles. Par exemple, les pensées, les idées et les "réalités spirituelles" sont évidemment des concepts non-matériels, mais ils produisent des effets bien marqués dans le corps physique ou émotionnel, tels des douleurs, des symptômes, des blessures, des signes ou des marques qui eux, sont bien physiques.

 

Leurs douleurs, qui parfois peuvent également surgir à la conscience comme une mémoire cellulaire, sont véhiculées par le système hormonal et les neurotransmetteurs, car leur signal électrique est transporté par la molécule d'hydrogène.

 

Jusqu'à peu, l'hydrogène ne pouvait être stocké naturellement que sous la forme de dihydrogène, c'est-à-dire lorsqu'on lui associe un atome d'oxygène, devenant ainsi de l'eau. Néanmoins, des industriels savent désormais fabriquer des pastilles d'hydrogène. Sa synthèse et sa fabrication sont déjà optimisées. L'hydrogène capturé par la molécule d'ammoniac (NH3), elle-même encapsulée par le chlorure de magnésium sous forme d'hexamine, est ensuite restitué par un procédé de catalyse pour une utilisation quasi illimitée. Le dihydrogène constitue réellement la première source d'énergie infinie. Tout type de moteur pourrait d'ailleurs fonctionner à l'hydrogène par électrolyse du dihydrogène et ne polluerait absolument pas, puisqu'il ne rejetterait que de la vapeur d'eau dans l'atmosphère.

 

Maintenant, s'enrichissant très progressivement en dihydrogène, l'atmosphère terrestre commence à élever sa densité. Le dihydrogène constitue "la quintessence" de la 4ème densité, puis des densités supérieures.

 

Il est connu que certains individus initiés par leur quête intérieure lors des précédentes grandes transitions, en s'y étant préparés, avaient déjà réussi à s'élever vers des densités supérieures en "s'évaporant " en quelque sorte avec leur corps physique.

 

Partant du passé (de leur passé), ils avaient regagné le futur. Futur qui désormais devient le vôtre et duquel vous parviennent les nouveaux codes génétiques véhiculés par cette molécule d'hydrogène.

 

L'hydrogène renfermant la fréquence de résonance des codes génétiques et n'étant pas soumis à la gravitation, reste donc insensible au flux du temps. C'est ainsi que la génétique et ses codes additionnels voyagent dans l'éthérique, transcendant l'espace-temps.

Vous trouverez certains témoignages à propos de l'élévation du corps physique vers des densités supérieures dans les traditions religieuses. C'est de là que provient la légende du Christ qui ascensionna à la droite du Père, autrement dit en 6ème densité d'existence. Certaines anciennes traditions celtiques ou amérindiennes en parlent comme étant l'ascension du corps d'énergie ou corps de lumière.

 

* * *

 

Forts des informations proposées par l'Ange, nous sommes allés rechercher les extraits de l'enseignement d'Ours Blanc que nous avions sous le coude et que nous avons découverts il y a quelques temps. Nous l'avons d'ailleurs étudié pour faire apparaître les similitudes avec l'enseignement de l'Ange.

 

Voici le lien : https://www.reseauleo.com/atlantis-contre-mu-temoignage-d-ours-blanc/

 

Le témoignage de ce chef indien Hopi relate avec beaucoup de générosité l'histoire de ses ancêtres, transmise de génération en génération, pendant des milliers d'années. Il raconte l'histoire de son peuple‚ les Hopis et les relations qu'ils avaient su garder avec le créateur et ses auxiliaires célestes‚ les différents Kachinas dont nous parlait notre Ange.

 

Nous découvrions ainsi que, d'après Ours Blanc, les humains candidats à l'ascension dans des dimensions supérieures étaient toujours guidés par les esprits supérieurs : les Kachinas.

 

Les Kachinas étaient des êtres corporels qui avaient besoin de vaisseaux pour voyager dans les airs et retourner sur leurs planètes. Ces vaisseaux possédaient une surface courbe. En raison de cette forme, ils les appelaient aussi "boucliers volants".

 

 

Gravure d'un Kachina avec son bouclier volant découvert sur la paroi rocheuse du Roc  d'en Barou à Rennes-les-Bains (dépt.11)
Gravure d'un Kachina avec son bouclier volant découvert sur la paroi rocheuse du Roc d'en Barou à Rennes-les-Bains (dépt.11)

 

 

Les Kachinas des Hopis étaient très probablement des Nungal, les Anges veilleurs de nos traditions religieuses, des êtres de 4 ou 6ème densité.

 

Ours Blanc raconte notamment comment le peuple de Kásskara, le continent de MU, a émigré vers l'Amérique du Sud, tandis que d'autres lignées parvenaient en Europe en transitant par l'île d'Atlantis pendant "l'engloutissement" de l'Amen-ti dans l'océan.

 

Nous avons donc déduit que ces lignées que Ours Blanc appelaient des clans, correspondraient probablement plus tard, aux différentes races humaines qu'étaient les Sémites, les Chamites et les Japhetites, parvenus en Afrique et en Europe par le chemin de Compostelle.

 

 

Eux aussi étaient probablement accompagnés et guidés par des Kachinas, des êtres extranéens voyageant en Gigirlah (OVNI en forme de soucoupe).

 

 

 

Ours Blanc cite notamment comment les traditions orales faisaient mention d'hommes qui consacraient tout leur temps à des tâches importantes.

 

Il cite :

« Marchant sur un chemin étroit [que nous avons identifié comme celui du service à autrui SDA], ils étaient confrontés à de nombreux dangers et tentations. Mais il a toujours existé des hommes qui atteignirent ce but élevé. Aujourd'hui‚ un tel homme est appelé Náquala [ou Nagual] ce qui signifie conseiller ou bienfaiteur‚ et cela montre son abnégation et son dévouement dans la vie et ses devoirs envers son peuple en tant que guide. Un tel homme ne se laisse pas détourner de son chemin de vérité. A tous ceux qui avaient atteint ce but‚ les Kachinas leur accordaient la faveur de ne pas être obligés de mourir ; ils pouvaient quitter notre terre sans être morts. Cela a déjà existé dans la ville de Táotoóma (Tiahuanaco). Ces gens nous ont quitté réellement dans leur corps humain et sont partis vers un système planétaire que nous ne connaissons pas. »

 

Ce système planétaire, ne serait-il pas la Nouvelle Terre qui se manifestera dans notre réalité future, lorsque certains humains seront fin prêts à changer de densité ?

 

Nous relevons donc ici un autre indice établissant l'importance d'un profond travail intérieur "constitué de multiples tentations et dangers" (redevenir ces fameux initiés à l'alchimie !) afin de pouvoir parvenir à transiter avec notre corps physique actuel.

 

L'Ange nous avait effectivement bien aiguillonné dans nos recherches. Car c'est maintenant que la supplémentation en iode aidera notre organisme à parer à la surcharge d'isotopes radioactifs dans l'atmosphère ambiante.

 

Il nous avertissait ainsi :

 

"Lorsque vous êtes affectés par ces symptômes, il suffit simplement d'augmenter la prise d'iode et de vous reposer, jusqu'à ce que les manifestations physiologiques se stabilisent."

 

Finalement, les douleurs respiratoires nous ont encore une fois mené bien loin dans nos recherches. Nous savons désormais que quelque chose s'achève et que même si nous ne comprenons pas toujours tout ce que l'Ange nous révèle, un peu d'implication et de travail personnel peuvent tout compte fait nous amener à des réponses pertinentes, quant à des phénomènes qui pour la plupart d'entre-nous paraîtraient complètement incongrus ou invraisemblables.

 

D'autres aspects des enseignements de l'Ange concordants avec ceux d'Ours Blanc, des Cassiopéens et des communications de Ra Matérial, sont également intéressants à soulever. Car d'après ce que nous avons appris et compris des propriétés de l'hydrogène, de la silice et de leur synergie, il semblerait que des corrélations pertinentes seraient à relever.

 

Alors de quoi s'agit-il ?

 

Ces sources font toutes mention de lieux privilégiés lors de la transition des mondes. Prenons par exemple la fameuse légende de Bugarach qui prétend que la montagne serait un refuge qui échappera à l'apocalypse de la fin du monde. L'apocalypse était déjà attendue en grande pompe à Bugarach fin 2012, mais n'a visiblement pas eu lieu de la manière dont les ignorants l'attendaient.

 

 

Bugarach
Bugarach

 

Cependant, nous le savons désormais, il y toujours une part de vérité dissimulée entre les gros mensonges. C'est probablement pour cette raison que les services secrets Français, d'Israël (le Mossad) et ceux du Vatican, s'y étaient donnés rendez-vous. Apparemment eux aussi avaient besoin de comprendre.

 

 

D'après de nombreux témoignages, les gens qui arrivent la première fois dans la région, restent souvent bouleversés par leur périple sur les sentiers de la montagne. Fort en énergies telluriques, le Bugarach le doit à sa géologie particulière. Le pic a la tête en bas ! Ses couches géologiques s'étant inversées durant le crétacé, il est criblé de grottes et de cavités en sous-sol et contient de grandes quantités de roches siliceuses, ainsi que des résidus radioactifs provenant de précédents cataclysmes planétaires.

 

 

 

Nous savons donc désormais que la silice est un puissant catalyseur et amplificateur d'énergie qui, en présence d'hydrogène, deviendrait un puissant activateur de résonance génétique.

Mettons dès à présent ces données dans un coin de mémoire et revenons maintenant à une autre histoire qui se raconte dans notre région.

 

Dans les années 1960, un berger à la recherche d'une brebis égarée, découvrit derrière un buisson, un trou dont s'échappait de l'air frais. C'était l'entrée d'un boyau souterrain qui après quelques mètres débouchait dans une grotte.

 

Il se dit qu'au fond de cette caverne, le berger découvrit plusieurs sarcophages en une matière translucide mais sombre, dans lesquels des humanoïdes de très grande taille semblaient dormir.

Le berger n'aurait jamais pu révéler le lieu exact de sa découverte, puisqu'il est décédé d'un mal mystérieux quelques jours après sa sortie de la grotte.

 

Dans les années 1980, un autre chercheur Suisse, passionné de l'histoire cathare appelé Daniel Bettex, aurait lui aussi découvert une grotte ornée de mystérieux symboles et contenant un sarcophage. Il serait également décédé sans avoir pu élucider le mystère.

 

http://accesnomade.blog.lemonde.fr/2012/11/18/le-pech-de-bugarach/

http://secretebase.free.fr/etrange/zonesetranges/bugarach/bugarach.htm

 

A notre avis, les histoires du berger et de Daniel Bettex auraient un sens, car les deux corroboreraient le fait qu'il y aurait des lieux privilégiés aux alentours de certaines montagnes qui seraient "arrosés" par des fréquences de résonance énergétiques très singulières. Ces fréquences énergétiques contiendraient des codes génétiques disséminés par la résonance de l'ADN de certaines entités non-humaines, recluses dans un état léthargique dans des grottes. Ces dernières seraient présentes dans certaines régions à travers le monde, probablement suivant le trajet du chemin de Compostelle, donc surtout dans les Pyrénées.

 

Ces êtres dans des sarcophages ou parfois d'apparence momifiée (comme dans "L'incroyable rêve de Jenaël") feraient office de réserves génétiques, une sorte de banque d'ADN chargée de rééquilibrer (par résonance) le capital génétique de l'humanité en cette fin des temps. Ceci afin de l'aider à franchir les densités supérieures.

 

C'est donc probablement grâce à la fréquence de résonance chargée des codes de la compassion provenant des entités planificatrices (avec un génome christique-sémite au service d'autrui SDA) que tellement de gens en provenance de l'Europe entière (nous inclus), ont débarqué en masse après les années 2000, dans l'Aude (département 11, portail vers l'Au-delà ?).

 

Évidement, nous sommes conscients que les révélations contenues dans ce texte seront considérées par les profanes d'élucubrations fantaisistes sans fondement. Mais comme le disaient les Hopis – à qui le gouvernement avait donné une réserve et qui ensuite sont revenus pour en couper des morceaux –, nous n'avons pas à nous défendre pour chercher à avoir raison. Car ce sont ceux qui doutent d'eux-mêmes qui en pâtiront...

 

L'Ange veille et l'ignorance mène au péril n'est-ce pas ? Les Hopis, eux aussi l'avaient compris !

 

 

Sand & Jenaël 

 

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