Audio et PDF disponibles en bas de page
Tout a commencé lorsque j’étais en train de rédiger le texte de la préparation du silicium organique et que j’allais utiliser le pavé numérique de mon ordinateur, qui subitement refusa de fonctionner. Cet incident, somme toute banal dans le monde de l’informatique, fut le début d’un extraordinaire jeu de piste qui me conduisit vers de nouvelles compréhensions et me poussa vers des recherches encore plus fouillées sur le changement de réalité en cours.
Effectivement, je ne sais pour quelle raison, le clavier de mon ordinateur ne me proposa plus aucun chiffre, alors que j’en avais besoin pour retranscrire entre autres les dosages du silicium dans le mode de préparation pour qu’il puisse être publié. J’étais donc bloqué dans mon travail et sa parution.
Nous avions alors décidé de mener ‘‘mon ordi’’ en réparation chez Frédérique, une professionnelle de l’informatique dans notre région. Également ancienne journaliste, elle publie parfois sur les réseaux sociaux et était déjà intervenue sur le réseau LEO. Son diagnostic fut sans appel. Il fallait installer un nouveau système qui "upgradait" l’ancien. (Upgrader : passer à la version la plus récente du système.)
Comme je travaille sur Linux, elle me proposa d’installer soit Linux OpenSuse (dont le logo est un caméléon), soit la nouvelle version de (Linux Mint) qui signifie Linux ‘‘Menthe’’.
Nous nous sommes alors laissés tenter par le caméléon. Comme fenêtre d’accueil, elle m’installa un fond d'écran "lion". Une fois l’installation terminée et de retour à la maison, j’ouvris l’ordinateur pour me familiariser avec ces nouveaux programmes. Mais cela ne se passa pas comme prévu.
Dès les premiers clics, l’affichage du bureau disparu et le lion avec. Les fenêtres de visualisation, une fois rapetissées, s’évaporèrent je ne sais où, ce qui faisait que je ne parvenais plus à retrouver les fenêtres sur lesquelles j’étais en train de travailler.
Lorsque je demandais à ouvrir un fichier, l’ordinateur ne se contentait pas de l’ouvrir comme je m’attendais à ce qu’il le fasse, mais il affichait : "voulez-vous ouvrir à droite, à gauche, dans tel ou tel dossier, avec tel ou tel programme" (il en affichait au moins une dizaine !). De plus, tout était en anglais et en langage ultra informatico-impénétrable, ce qui m’obligeait à chaque manœuvre à en vérifier le sens sur un logiciel de traduction. Impossible de travailler dans ces conditions. J’en arrivais à pleurer devant une telle technologie, hermétique et alambiquée au possible, alors que j’avais grand besoin de simplicité !
Évidemment, en tentant de modifier certaines données pour parvenir à retrouver les éléments de mon travail, j’avais semble-t-il complètement bousillé l’installation d’OpenSuse… Enfin bref ! Tout cela nous a ramenés une deuxième fois à la clinique de Frédérique l’informaticienne qui l’avoua également, eut un mal de chien à désinstaller ce système. Elle nous raconta elle aussi son aventure pour se dépêtrer de ce logiciel, beaucoup trop obscur et complexe. Jamais auparavant, elle n’avait rencontré une telle situation. Loin d’être novice en la matière, elle dut s’y reprendre à 5 reprises pour enfin arriver à supprimer le système.
Bien sûr, nous comprîmes tous assez rapidement que le corpus SDS était encore à l’œuvre ! Dans le système de symbole, le caméléon est un reptile qui possède l’habileté de se fondre dans son environnement. Il est même capable de prendre des apparences falsifiées pour tromper sa proie. Nous avions ainsi failli nous faire prendre par le caméléon perfectionniste et hyper sophistiqué, qui en quelque sorte avait usé de ses charmes de "haute-technologie" pour nous tenter. Mais décelant son petit jeu de cache-cache, nous sommes finalement revenus à Mint qui, telle la menthe, ouvre les fonctions de la pinéale (l’intuition) et sa couleur verte, couleur du chakra cardiaque, qui ouvre à l’équilibre (l’Amour véritable).
Ce petit jeu de symboles nous ramena donc au silicium.
Rappelons tout de même que le processeur d’un ordinateur est fabriqué à partir du sable de silice, dont les composés en cristaux de silicium réagissent par résonance, amplifiant alors fatalement celle de notre état émotionnel. Et j’étais précisément en train de rédiger le protocole de fabrication du silicium organique, qui est également est élaboré avec du sable de silice.
Alors, n’y avait-il pas là quelques synchronicités à relever ? Oh que si ! Car l’histoire ne s’arrête pas là.
Nous devons également nous rappeler que la technologie du processeur d’ordinateur et les principes de l’informatique numérique ont été transmis à l’humanité par certaines lignées de Gris, des entités provenant d’une ligne de temps d’un futur entropique pour l’humanité. Nous savons également que parmi ces Gris, beaucoup en sont revenus afin de prévenir l’humanité de ne pas reproduire les mêmes erreurs qu’eux.
De même, comme nous l’avons relaté dans un précédent texte (Cf. Cahier de l'Ange 7.4), deux uniques crops circles (les deux crops-tapis de Chibolton), envoyés non pas par des humanoïdes Gris restés sur la trajectoire déclinante de l’humanité actuelle, mais par des humains d’un futur différent, spécifient bel et bien que les humains de cet autre futur possèdent un ADN contenant du silicium. N’est-ce pas ?
Nous savons également que le silicium (SiO2) est un semi-conducteur, et qu’avec les molécules d’eau qui le transportent (lorsque nous élaborons du silicium organique SiO3), il contracte la propriété de pénétrer l’ADN pour véhiculer, classer et trier, les programmes/mémoires inscrits dans notre génome.
C’est pourquoi, étant la plupart du temps investis d’une conscience reptilienne prédatrice, ces Gris, tout comme l’humanité actuelle, piégés par des consciences supérieures parasites, n’ont pas su ouvrir de ligne de temps alternative, afin de se détacher de leur ligne temporelle entropique. (Nous approfondirons le sujet un peu plus loin dans le texte.)
Ainsi, pour élaborer du silicium liquide organique qui dorénavant supplantera les gemmes de silice dans leur fonction, tels les fameux crânes de cristal, nous devons utiliser de l’eau la plus pure possible, afin que la réaction chimique avec la chaux puisse produire des clusters de tétraèdres de silicium. Ces tétraèdres reproduisent en quelque sorte l’onde de forme éthérique des cristaux de silice qui forment la structure interne des gemmes (ou des crânes de cristal). Ils ont pour fonction d’amplifier notre résonance vibratoire intragénétique.
Un tétraèdre de silice (les silicates) possédant une structure de base composée des ions Si4+ et O2- disposés en tétraèdres en 3 dimensions.
http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s2/princ.mineraux.html
Alors, la question que nous serions en droit de nous poser serait la suivante : Que devons-nous comprendre de ce système d’indices ? Quel est le rôle du silicium organique dans ce processus ?
Nous avons posé cette question à notre informateur des densités supérieures. Voici ce que nous avons reçu :
N’avez-vous jamais remarqué que toutes les informations qui seraient importantes à l’élévation de la conscience humaine sont toujours astucieusement muselées ?
À votre avis, pourquoi l’usage du silicium organique pour l’organisme a-t-il tellement été controversé ?
Non seulement beaucoup se sont fait énormément d’argent sur un produit dont le secret de fabrication remonte à la nuit des temps, mais le silicium organique vendu en tant que produit médical miracle est encore bien plus que cela.
Vous avez reçu puis révélé sa recette de fabrication au grand public, elle sera désormais diffusée à grande échelle. Car bien au-delà d’être un fantastique produit de régénération cellulaire, le silicium organique se comporte comme un semi-conducteur liquide, autorisant la réparation et la reconfiguration rapide du génome humain.
Le silicium possède la propriété de trier les programmes génétiques stockés dans l’ADN, ou de réactiver, réveiller un programme génétique dormant ou défaillant. Il sera donc indispensable dans une certaine quantité dans l’ADN, lorsque vous franchirez les portes du temps. Car en pénétrant le système cellulaire, la génétique et le complexe hormonal pinéale-pituitaire, ce sont précisément ses propriétés de "lecteur supra-luminique" qui, quelque part, enclencheront la séparation des réalités.
Le silicium, sous forme organique liquide, relèguera désormais les archaïques crânes de cristal au stade de technologie transdimensionnelle primitive, voire préhistorique.
Les hybrides humanoïdes-Gris, n’ayant pas su comment s’émanciper des consciences prédatrices parasites, n’ont pas cru en la technologie du silicium liquide sous sa forme organique. Trop confiants en leur technologie matérielle extérieure, ils sont donc restés piégés à l’époque des gemmes, des crânes et des technologies à cristaux de quartz "durs et solides".
Ces Gris "végètent" dans une "ère de conscience" d’un futur déjà réalisé. Mais leur lecture de l’espace-temps place l’époque de la séparation des réalités entre votre ligne de temps actuelle et celle de ce futur potentiel, qui n’est pas encore inscrit mais qui sera à écrire et à construire.
Cette alternative, entre une involution destructrice avec l’option cataclysmique de plus en plus certaine depuis 2012 et une évolution émancipatrice nommée "ascension" ou "grande transition", ouvrira votre aptitude à "sortir de l’illusion du temps linéaire" et donc d’en altérer les lignes potentielles et entropiques qui elles, sont donc déjà inscrites dans le futur.
Le même genre d’alternative avait été proposé à la civilisation Atlante à laquelle avaient été donnés les crânes de cristal. Mais ces gros gemmes de quartz en forme de crâne, d’abord idolâtrés, ont finalement été les principaux outils de destruction de la civilisation Atlante.
Pourquoi cela ?
Vous savez qu’un cristal de roche, donc du silicium quasi-pur, fonctionne comme un super amplificateur de fréquence de résonance. Mieux encore, grâce à sa structure à double polarité, le silicium organique – à la fois hydrophile, grâce à ses liaisons -OH lui conférant une meilleure solubilité dans l’eau indispensable au passage dans le sang, mais également hydrophobe, grâce à son groupement méthyle, lui conférant une affinité particulière pour les graisses – devient capable de passer directement dans le sang en traversant la muqueuse intestinale ou même de forcer le passage du film protecteur de la peau.
Il se transforme alors en un super amplificateur de fréquence de résonance intra-organique, qui se fixe dans le milieu cellulaire, devenant opératoire et très efficace dans le processus épigénétique. Lorsqu’il est suffisamment dilué dans l’eau, ce silicium est donc d’une très grande biodisponibilité. Dans ce cas, l’assimilation du silicium organique minéral dans le sang est estimée à plus de 50 %, contre 5 % pour le silicium colloïdal d’origine végétale, et est utilisé par les cellules et les tissus conjonctifs quasiment en totalité, contre 50 % seulement pour le silicium colloïdal d'origine végétale. Une cure apportant environ 2 mg de silicium organique par jour, permettra de reconstituer les réserves et de redémarrer la production des tissus conjonctifs.
Alors, là où les gemmes de cristal restent une technologie passive et extracorporelle, une cure "active" de silicium organique minéral prolongée à dosage homéopathique de l’ordre de 0.003 à 0.005 %, aura une action remarquable sur le processus intra-organique et épigénétique, évidemment, dans la mesure où vous faites appel à la Connaissance et que vous l’appliquez dans votre quotidien.
De plus, étant donné que vous savez que tout est un processus dont une action va en entrainer une autre (cause à effet), vous êtes-vous déjà demandés pourquoi vous avez été guidés à modifier votre alimentation avant de recevoir l’information sur le silicium ?
Le silicium organique, possédant une affinité particulière pour les graisses, devient particulièrement opérant en cas d’alimentation riche en gras, tels que l'appliquent les expérienceurs de l’alimentation paléo-cétogène. Ces coalisés de la connaissance de l’alimentation riche en graisses deviendront donc effectivement l’humanité du futur peuplant la Nouvelle Terre. Et cela parce qu’ils auront résolu leur conflit intérieur, une croyance qui présumait que manger du gras animal (ou même végétal) était préjudiciable pour leur santé et pour leur élévation spirituelle.
Alors que les végétariens qui, rappelons-le, deviendront les Gris munis d’un système organique plutôt végétal capable d’assimiler le carbone par photosynthèse, ne pourront pas franchir les mondes d’hydrogènes de 6ᵉ densité, ni y vivre.
En Atlantide, les gemmes de cristal ont déjà servi comme transpondeur supra-luminiques. Mais le corpus SDS, s’étant emparé de cette technologie dans un but guerrier, a réduit une grosse partie de l’humanité Atlante en des quasi-zombis, par le biais d’ingénieux programmes de manipulations de la conscience. Technologies largement augmentées par l’utilisation détournée des propriétés piézo-électriques des crânes et des gemmes de quartz.
Dès lors, les crânes ont été l’objet d’un véritable culte, toujours en vogue à l’ère de l’humanité moderne et technologique. Les crânes de cristal ont donc piégé l’humanité SDS, ainsi que le trop peu de candidats SDA dans les mondes SDS.
La transition des mondes et la moisson des âmes ne pouvaient donc avoir lieu.
Maintenant Jenaël, rappelle-toi lorsque ton alter a convoyé le crâne de cristal cathare hors des murs de Montségur. En réalité, il l’a volé au château pour qu’il ne tombe pas entre les mains de l’Inquisition. D’après tes visions, il a remis le crâne à une planificatrice Amasutum qui l’attendait au pied de la Falconnière.
La réalité est encore bien autre. La vision de l’Amasutum au pied de la montagne n’était qu’une illusion pour que tu puisses comprendre le drame qui s’était joué à cette époque. Car ton alter cathare s’est simplement fait récupérer sur le champ de bataille du Bézu, lors d’une banale abduction transtemporelle. Le restant de tes visions ne sont que des scènes qui ont été introduites dans tes souvenirs, pour que tu puisses établir un pont avec votre histoire cathare au Bézu et vos aventures récentes sur ces terres.
De ce fait, et après votre expulsion de la propriété, tu as rencontré la gardienne d’un crâne contemporain. (Conf. dialogue n°24) Cette rencontre était mise en scène pour tenter de vous dévier de votre mission d’âme et vous aiguiller encore une fois à emprunter une voie du service de soi. Car sa dépositaire possédant un alter au service de soi très influent, ce dernier a repris le contrôle de son esprit, dans son présent actuel. Elle s’est donc laissé éblouir par le culte des crânes de cristal et est ainsi redevenue malgré elle, une opératrice-programmatrice très efficace au service du corpus SDS.
Elle mentionne même sur son site : ‘‘Les crânes de cristal représentent le Secret d’une science terriblement dangereuse et convoitée pour le pouvoir qu’elle donne à qui en a la maîtrise. Dangereuse au point d’avoir déjà détruit des Humanités avant la nôtre.”
Cette personne avait un potentiel altruiste marqué, mais rattrapée par le besoin de reconnaissance de son statut de prêtresse Atlante, et sa ressemblance à l’image de Marie Madeleine flanquée du crâne de la connaissance, elle est retombée sous l’impénétrable et dangereux charme de son crâne ŠhaMuRâ.
Il existe donc une grande amplitude énergétique entre ce qu’elle prétend être (l’apparence) et ce qu’elle est réellement (son Êtreté). Beaucoup d’ignorants tomberont encore dans les filets de la Serpentaire.
Comme vous le savez désormais, les crânes de cristal relevaient effectivement d’une technologie dite de lumière. Mais ils exerçaient leur magie par une résonance provenant de “l’extérieur” du corps humain, puisque les crânes étaient des objets de pouvoir extracorporel à l’humain. Dès qu’ils tombèrent entre les mains du corpus SDS, ces crânes sont redevenus (et resteront désormais) une arme de destruction massive destinée à décimer les civilisations.
Revenons alors au silicium organique, qui est l’élément nouveau qui apparaîtra dans la génétique du nouvel humain des mondes SDA de 4ᵉ densité, qui est quelque part celle du Néo-LEO.
S’il existe de grandes similitudes entre le silicium d’un crâne de cristal et le silicium organique, il subsiste également de grandes différences. Le premier étant constitué d'un gemme de silice solide, le second est un silicium liquide qui vous permettra d’évoluer dans des mondes plus riches en hydrogènes (tels que le seraient les mondes après l’explosion de bombes thermonucléaires – bombes à fusion – ou bombes à hydrogène).
Le silicium organique est parfaitement assimilé par l’organisme, même jusque dans le génome mitochondrial, alors que vous aurez beau essayer de le sucer, de le croquer, de le cuisiner en papillote ou en cuisson douce, un crâne de cristal restera toujours un morceau de silice non assimilable par l’organisme.
Pourtant, à différence de densité près, les deux possèdent sensiblement les mêmes propriétés. Ils sont des supra-conducteurs luminiques. Mais les crânes de quartz, quant à eux, peuvent désormais être relégués au musée, car cette technologie recommandée par le corpus prédateur sera largement remplacée et surpassée par celle du silicium liquide.
Une partie de l’humanité future réussira à réparer son génome originel de plusieurs manières. La plus importante restera sans conteste un profond travail intérieur, suivi d’un radical changement alimentaire, une supplémentation en iode et pour finir, l’intégration du silicium dans son génome.
Vous apprendrez ainsi que les humains du futur ne seront plus dotés de corps organiques “carbone”, mais seront d’une composition plutôt gélatineuse formée essentiellement de silice. Ce qui leur permettra de voyager beaucoup plus aisément dans les densités et entre les mondes. Conformément à ce qui est inscrit sur le crop circle de Chibolton, les humains de 4ᵉ densité SDA, quant à eux, seront donc déjà équipés d’un génome corrigé, grâce au silicium.
Souvenez-vous, un clin d’œil à ce propos vous avait été proposé à la fin de votre séjour au Bézu, lorsque dans les pierres de la maison où vous résidiez, apparut à côté d'une rose, Yeshua et un crâne vert semblant vivant.
Le silicium organique possède un autre avantage non négligeable. Contrairement aux crânes de cristal, son utilisation ne peut pas être détournée par les opérateurs SDS, parce qu’il se fixe directement dans le génome, en se comportant non pas comme un amplificateur externe, mais comme un générateur-régulateur de fréquences internes. Ce qui possède un autre avantage, qui est celui de déployer le néo-génome (les nouveaux programmes épigénétiques) du "receveur".
Ainsi, celui qui se supplémente en silicium verra les codes de son génome original se décupler. Un individu en orientation SDA verra ses codes génétiques originels se reconstituer et prendre de l’ampleur pour constituer sa propre bulle de perception SDA.
Tandis que celui qui continue à privilégier ses programmes SDS, verra se décupler ses programmes SDS.
Les deux programmes étant incompatibles, les bulles des uns et des autres se sépareront inévitablement et définitivement.
Le Nouveau Monde SDA se constitue donc en un multivers du service à autrui correspondant à la somme des bulles SDA.
Le Réseau LEO se transformera ainsi en un réseau de créateurs de mondes, comme le sera également le réseau des Cassiopéens, des Pléiadiens ou d’autres peuples planificateurs du service d’autrui, un peu de la manière dont cela vous a été montré dans le rêve lançant la création du Réseau Leo.
Il faut bien comprendre que devenir créateur de monde est un potentiel inscrit dans la génétique de tout être jusqu’en 7ᵉ densité. À chaque niveau de densité existe une même règle : les ondes de “gravité-spin” ou ondes de torsion provenant d’une forme de conscience, quelle que soit son origine, constituent la source effective de la gravité et restent l’élément-clé de toute manifestation créée. La gravité contient donc toutes les potentialités, dont celle du temps, qui de ce fait n’a de réalité que par l’interprétation que l’individu s’en fait dans le schéma fermé de ses croyances, sa “prison conceptuelle”.
Il existe également une corrélation entre le processus de fabrication par des champs magnétiques collectifs d’un univers de bulles de perception collectives – un multivers –, avec le fonctionnement effectif de la glande pinéale d’un individu qui reproduit le processus à son échelle.
Chaque humain devient donc une sorte de transpondeur naturel de sa propre énergie-conscience. En fonction de son alignement SDS ou SDA, il pourra devenir un participant à une occurrence d’ouverture de vortex, soit vers un monde SDS, soit vers un monde SDA.
La molécule spécifique qui autorise cette occurrence d’ouverture est la “Di-Méthil-Triptamine” (DMT) qui, augmentée par le silicium, joue un rôle particulier comme “nano-lecteur luminique” des diverses dimensions. Le cristal de DMT vibre dans l’eau magnétisée de la glande en structure pinéale. Elle est complétée par la glande pituitaire, “pierre-mère” de ce processus.
Il s’agit donc effectivement de laisser se former une sorte de nouvelle bulle de perception de plus en plus hermétique à votre 3ᵉ densité actuelle, qui peu à peu deviendra propice à constituer un portail d’ouverture temporel.
Chaque bulle se rajoutera alors à tous ceux qui, par leur intention de cheminer en SDA, vont commencer à créer eux aussi leur propre bulle. Et de telles bulles se créent en soutenant et développant l’énergie du service d’autrui. (Nous verrons plus loin ce que cela implique.)
En formant un nouveau potentiel de multivers au service d’autrui et une fois assez de bulles rajoutées les unes aux autres, se produit à son tour une “hyperdimension intemporelle” localisée dans le "temps-espace" à partir de laquelle, par dé-molécularisation puis re-molécularisation, tout deviendra possible. De par cette re-molécularisation, se formera alors un nouvel espace de création qui prendra la forme d’une Nouvelle Terre.
Cela vous laisse-t-il rêveur ?
Le corpus reptilien avait créé une technologie matérielle qui utilisait des cristaux de silicium très purs et que les militaires connaissent sous le nom de cube d’Orion.
Cette technologie a notamment été utilisée lors de l’expérience de Montauk. Il s’agit d’un super-ordinateur que les entités reptiliennes utilisent pour naviguer dans l’espace-temps, permettant l’accès à des vitesses au-delà de celle de la lumière, sans dilatation du temps. Car au-delà d’une certaine frontière électromagnétique, on passe des dimensions spatiales aux dimensions temporelles. Quelqu’un qui pourrait observer ce phénomène verrait un objet non-physique à l’apparence de disque. Ceci parce que son onde de forme se forme à partir de deux dimensions spatiales et une dimension temporelle. Phénomène qui engendre une “figure” qui s’aplatit en même temps que la vitesse augmente.
Vous avez donc dû comprendre que les entités reptiliennes utilisent une technologie artificielle pour générer des trous de ver extérieurs au corps, dans lesquels un observateur peut scruter des potentiels de futur. Alors que le silicium organique liquide activera les nano-trous de ver que recèle l’ADN, dans lesquels la conscience de l’observateur se glissera elle-même, pour que l’observateur puisse se retrouver lui-même dans ce futur.
À l’inverse de la technologie du cube d’Orion, le passage dans un trou noir, induit par un changement de densité de configuration naturelle, ne produit donc que très peu de transfert spatial. Mais il générera un transfert temporel qui franchira les nano-trous de ver de votre génétique. Eux-mêmes induiront pour ainsi dire une réaction en chaîne qui, tel le principe des espaces gigognes, ouvrira un portail par la pinéale. Vous découvrirez de nouveaux potentiels de réalité, tout en étant restés dans l’espace duquel vous êtes partis. Toutefois, ce potentiel aura emprunté une ligne temporelle vierge qui sera à construire à partir de son état actuel.
Il faut savoir également que lorsque l’énergie du temps commence à empiéter sur l’énergie-espace, le corps ressent une sensation d’accélération de la vie, une impression de ne plus avoir le temps, en quelque sorte de la vitesse qui traverse le corps. Il arrivera un point où vous pourriez même avoir l’impression que votre environnement devienne légèrement verdâtre, phénomène lié à la densification de l’air et de l’hydrogène.
Le temps-espace se fige, alors que l’espace-temps semble se dissoudre. Vous commencerez alors à perdre vos repères dans la réalité. La couleur verte s’estompe et ce sont les objets qui se dématérialisent puis réapparaissent comme traversés par des ondes. En réalité, les objets sont toujours là, mais deviennent translucides, comme une pierre qui serait devenue ondulante, transparente ou vaporeuse.
Si vous commencez à percevoir ces phénomènes bizarres, c’est que vous êtes entrés dans le vortex temporel (le trou de ver). Alors là, pas de panique, ne résistez pas, laissez simplement le processus se faire et reposez-vous.
Le corpus SDS, trop confiant en sa technologie et trop méfiant par rapport au processus naturel, a toujours eu peur de se laisser emporter par de tels trous de ver, puisqu’il ne savait pas les contrôler.
Les trous de ver dans l’espace-temps – ceux qu’utilise le corpus prédateur – ne peuvent donc que mener en 4ᵉ densité, les derniers mondes dans lesquels l’espace-matière prime sur l’espace-temps.
Alors que les passages dans le temps-espace mènent là où sont rassemblés les êtres à partir de la 5ᵉ densité. Ils peuplent des mondes dans lesquels le temps est infini (un présent infini ou non-temps) et où l’espace prend la forme de multiples potentiels.
Les peuples prédateurs connaissent l’existence de deux technologies opérationnelles pour franchir les mondes : celle des Reptiliens d’Orion qui a été choisie pour le projet Phoenix, car purement spatiale et plus facile à intégrer pour leurs "esprits cartésiens et linéaires", et celle des Namlú’u, les figures natives de la Terre, "les petits hommes" comme ils les désignent. La méthode des Namlú’u, étudiée sans succès jusque là par le corpus SDS a été délaissée.
Bien évidemment, les Namlú’u sont des êtres de conscience fortement SDA qui n’intéressaient pas les techniciens du corpus reptilien. Les "petits hommes" savaient que pour changer de densité, aucune technologie n'est nécessaire. Le monde physique des reptiliens et le secteur cosmique des êtres de densité supérieure, sont finalement des “réciprocités complexes” réelles et imaginaires à la fois. Ils sont physiques et métaphysiques, conjugués avec un pied dans chacun de ces deux mondes, ouvrant la porte par-delà l’espace-temps.
Dans le cas de transitions des mondes comme nous l’envisageons, il ne s’agit donc pas à proprement parler de réalités ou de dimensions strictement parallèles, mais plutôt de “décalage”, d’un différentiel de phase qui permet dans certaines circonstances d’établir un pont psychique et matériel à la fois, entre ces deux univers. Et c’est de cette manière – par ce pont psychique –, que se déploient certaines capacités telles la précognition, la télékinésie, la clairvoyance et la clairaudience.
Il faut bien savoir que l’humain existe dans ces deux mondes en même temps, spatial et temporel, matériel pour le corps et cosmique pour l’esprit.
Tout cela est parfaitement "naturel" dans votre vie biologique. Certes difficile à concevoir, la conception de saut quantique dans l’espace-temps non linéaire représente un véritable casse-tête pour la conscience humaine qui, limitée par et dans son incarnation, reste incapable d’appréhender les dimensions de temps-espace avec sa conception étriquée du paysage spatio-temporel.
Mais bientôt, il sera amené à en faire l’expérience...
Sand & Jenaël